
Nous sommes en pleine campagne présidentielle 2017. La campagne judiciaro-médiatique du Penelope Gate, dénonçant les sordides petites magouilles mises en œuvre par François Fillon pour grassement rémunérer pendant des années sa femme Penelope...
« Jusqu’où s’arrêteront-ils ? Je ne le sais ni, et que Dieu nenni » aurait dit Coluche… Alors que le concert de louanges faisant suite au décès du gendarme Beltrame ne fait que commencer, louages déclamées sans aucun sens de la plus élémentaire décence et la larme à l’œil par tous ceux qui, du fait de leur constant aveuglement, leur irresponsable complaisance ou leurs sordides calculs électoralistes sont pourtant les véritables responsables du drame que nous venons une nouvelle fois de vivre, et qui ce soir a déjà coûté la vie à quatre de nos compatriotes, certains s’illustrent au contraire par leur sincérité totale et osent l’immonde, tant ils sont pétris de haine, détachés du réel, du peuple et des drames qui affligent désormais presque quotidiennement notre pauvre pays, tant ils sont aussi et peut-être surtout désinhibés par un sentiment d’impunité totale, justifié par la complaisance absolue que le milieu médiatico-politique a...
Publié le : 20 avril 2017 Source : egaliteetreconciliation.fr Un peu de sociologie politique avant le 1er tour Si l’histoire moderne n’a pas réellement produit de système politique au sein duquel le peuple exerce directement le pouvoir, les périodes révolutionnaires ont toutes été fruit de l’action d’une petite bourgeoisie consciente, tendant la main aux masses populaires (période jacobine). Recroquevillée sur elle-même, au service de ses intérêts propres, la petite bourgeoisie a pu à d’autres époques être tout à fait réactionnaire (Allemagne des années 30 après la destruction du socialisme allemand). Alors que déjà les préparatifs du grand raout d’entre-deux-tours contre l’ « extrême droite » sont en cours (1), une analyse des profondeurs électorales fait apparaître la candidature de Jean-Luc Mélenchon comme purement formelle, dont le contenu (la matière électorale) se trouve au Front national. Si la droite d’argent via son organe de propagande quotidien, Le Figaro, fait (bêtement ?) passer M. Mélenchon...