Société France

Bienpensance et censure sont les deux mamelles de l’Antifrance

23 décembre 20143
Bienpensance et censure sont les deux mamelles de l’Antifrance 4.97/5 60 votes

Comme dirait l’autre, il est des périodes de l’histoire où tout se lie pour faire sens… des instants T de l’histoire où les évènements, qu’ils soient simplement pathétiques, scandaleux, ubuesques ou terriblement dramatiques se rejoignent, pour dresser sans nuance et en pleine lumière le portrait affligeant d’une époque désespérante (la nôtre), ou faire définitivement le bilan catastrophique d’un système (celui de l’oligarchie politico-médiatique) qui nous étouffe depuis plus de trente ans. Ainsi des jours que nous venons de vivre en guise de cadeau empoisonné pour les fêtes de fin d’année…

Evènement pathétique d’abord…

Cachons cette crèche qu’« ils » ne sauraient voir !

Les bouffeurs de curé obsessionnels qui pullulent au Grand Orient et autres obédiences franc-maçonnes, et qui par une capillarité particulièrement fréquente et foncièrement malsaine imprègnent toute la caste médiatico-politique française, avaient trouvé le moyen en ce début de mois de décembre et pour célébrer « à leur façon » Noël, de faire preuve d’un zèle vraiment épatant : ils s’étaient attaqués à la présence d’une crèche dans les locaux du Conseil général de Vendée. Aussitôt, le doigt sans doute encore sur la couture d’un tablier tout juste remisé au placard entre deux sessions fraternelles, un juge du tribunal administratif de Nantes, n’ayant rien de plus sérieux ni surtout de plus urgent à foutre, avait enjoint le conseil général de retirer la-dite crèche. A Béziers, le préfet (sans doute comme une écrasante majorité de ses congénères lui aussi adepte de l’équerre, du compas, du maillet, du ciseau, du niveau, du fil à plomb, de la règle, du levier, de la truelle… et du raton-laveur ?) avait intimé le même ordre à Robert Ménard, maire politiquement on ne peut plus incorrect de la ville depuis les dernières élections municipales. En vain cette fois-ci, l’effronté refusant, lui, contrairement aux lavettes de Vendée, de se plier à l’injonction préfectorale.

Les médias – quelle surprise ! – avaient aussitôt tenté de justifier ces procédures délirantes, ce laïcisme hystérique. Peine perdue : partout en France, et notamment sur les réseaux sociaux, l’incompréhension et l’agacement – pour ne pas écrire la colère – se firent entendre devant cette énième attaque contre les « racines chrétiennes » de la France. Et pourtant… pourquoi nos chers bienpensants anti-chrétiens, au nom de leur « sainte laïcité », devraient-ils s’arrêter en si bon chemin ? Ne faudrait-il pas supprimer aussi toutes les fêtes religieuses et jours chômés qui s’y rattachent ? Débaptiser des milliers de communes de France, de Saint Germain-en-Laye à Saint Léonard des Bois, en passant par Saint-Etienne ou Saint-Maur-des-Fossés ? Raser églises, cathédrales, calvaires, crucifix et cimetières religieux, qui « polluent » l’espace public, donc résolument laïc ? Renommer moult grands crus français (Saint Emilion, Saint Estèphe) ? Supprimer du vocabulaire français des expressions comme « s’adresser à Dieu plutôt qu’à ses saints », la « saint glinglin » ou « c’est le petit Jésus qui vous descend dans le gosier en culotte de velours » ? Et j’en oublie sans doute beaucoup. Oui, vraiment… pourquoi s’arrêter en si bon chemin (de croix) ?

Le résultat de cette cathophobie obsessionnelle qui ne craint pas de se vautrer dans le ridicule ? Totalement contreproductif ! L’arroseur arrosé ! Le plaisantin lourdingue d’Almanach Vermot qui se gaufre sur sa propre peau de banane ! Au grand dam de Mélenchon et de ses frères laïcards hystériques des loges, un peu partout en France, les crèches « publiques » se multiplient depuis deux semaines à la vitesse d’un virus Ebola en Afrique, comme le signale quotidiennement et avec gourmandise l’excellent site Le Salon Beige. Un sondage Ifop/Dimanche Ouest France constate (malgré la rouerie des questions posées) qu’un pourcentage écrasant des français (71 % !) est favorable à la présence de crèches dans les lieux publics, car celle-ci constitue un « élément de tradition culturelle » français. Le serpent cathophobe médiatico-maçonnique s’est mordu la queue, et n’a plus qu’à partir avec celle-ci pendant piteusement entre ses jambes flageolantes. Premier aperçu de ce qui va bientôt donner une vue d’ensemble.

Evènement scandaleux ensuite…

Affaire Zemmour, vive la censure pour les « fachos » !

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous puissiez le dire… »

La fameuse phrase apocryphe prêtée bien à tort à cette ordure de Voltaire, et n’en déplaise à Dominique Jamet qui ferait bien sur ce sujet de s’informer un peu plus sérieusement (1), n’a certes jamais été une maxime sérieusement mise en exergue par ce qu’il est convenu d’appeler le journalisme français… n’empêche. Il arrivait parfois, ici où là, qu’un trublion, un iconoclaste, un incongru parvienne à passer entre les mailles du filet de bienpensance méthodiquement mis en place depuis des décennies par la « génération morale » issue de mai 68, que ce soit dans les « zélites » politiques (par l’entremise de Dany Cohn-Bendit et autres pseudos intellectuels béhachélo-attaliens), artistiques (à grand renfort d’enveloppes de juteuses subventions publiques) ou médiatiques (par le biais d’écoles ou plutôt d’usines de journalisme formaté et gauchisant). Oui, un vilain petit mouton noir arrivait parfois subrepticement à se glisser dans le troupeau bêlant des  « mutins de Panurge » si peu chers au regretté  Philippe Murray. Avec un Robert Ménard déjà viré des médias dominants, Eric Zemmour étant sans doute le dernier et le plus emblématique de ces « mauvais penseurs » villipendés et fort peu tolérés par les « gentils censeurs » défenseurs autoproclamés de la tolérance et de la démocratie.

Il faut bien le reconnaître (et même si cela fait mal au ventre d’être obligé de faire de telles constatations), son judaïsme étant sans doute le seul sésame qui lui permit de résister si longtemps, malgré beaucoup d’inimitiés ouvertement affichées, clamées, et encore plus de nez germanopratins plus ou moins officiellement pincés, sans oublier quelques passages ubuesques devant les tribunaux. Oui, son judaïsme fit longtemps œuvre d’arme de dissuasion nucléaire face aux ciseaux de la censure sans cesse agités par nos petits ayatollahs zélés de la pensée conforme. On ne vire pas des médias un « juif » comme on peut le faire d’un quelconque « français de souche » du type Robert Ménard !

Et puis patatras ! D’abord il y eut le succès gigantesque de son dernier brûlot « réactionnaire », Le suicide français (plus de 400 000 exemplaires vendus à ce jour, et c’est sans doute loin d’être fini), éparpillant « façon puzzle » toutes les icônes, tous les dogmes de notre élite politiquement correcte jusqu’à l’extravagance. Insupportable, notamment pour ses confrères journalistes qui peinent généralement – eux – à vendre leur prose livresque, même à leur femme, leur voisin de palier ou leur boulangère. Et puis, facteur décisif, facteur déclenchant, et même si le motif finalement invoqué fut tout autre (l’entrevue au Corriere della Sera et la vraie-fausse « déportation », inventée de toutes pièces par le journaliste italien, comme il l’a d’ailleurs reconnu lui-même) : Zemmour avait osé évoquer (quelques lignes sur plus de quatre cent pages !) en des termes moins manichéens que ne le tolère la doxa qui fait office de Loi (merci Gayssot-Fabius !) la période de l’occupation, le régime de Vichy et la réalité de ce qu’ont vécu en ces heures sombres de l’histoire les juifs de France, nationaux ou étrangers. La ligne jaune, en forme d’étoile, était franchie : le coupable devait être exécuté !

Et qu’importe alors si on le faisait en réalité tomber sur un faux prétexte, sur un vrai mensonge : l’essentiel était bien d’avoir sa peau, comme le voulaient Manuel Valls (2), Bernard Cazeneuve (3) ou Bruno Leroux (4), et tous ces pathétiques wagons bienpensants et liberticides bondés jusqu’au plafond de Torquemada à la petite semaine, qu’ils soient politiques, journalistes ou artistes, qui s’étaient exprimés ces dernières semaines pour demander (que dis-je demander : exiger !) puis pour enfin ces derniers jours se réjouir bruyamment du renvoi du vilain petit canard zémmourien des plateaux d’I-Télé. Un con-sternant panel allant de Rama Yade à Josiane Balasko, en passant par Dominique Sopo (mais concernant ce dernier, soyons charitables : on ne tire pas sur une ambulance psychiatrique).

Quant aux syndicats, rédactions et autre « société des journalistes » d’I-Télé ou de RTL qui ont ouvertement appelé au boycott d’Eric Zemmour, ou se sont bruyamment réjouis de son éviction… quelle belle conception de leur métier ils affichent, quel merveilleux sens de la démocratie et de la liberté de parole et d’opinion ils mettent en exergue ! Et ce sont « ces gens-là » qui prétendent nous dire, nous expliquer le monde… mais fi de cette engeance : s’il n’est guère charitable de tirer sur une ambulance, il l’est encore moins de le faire sur un corbillard. Qu’il me suffise de citer ici celui qui s’auto-érige constamment en parangon absolu de vertu journalistique, l’inévitable Edwy Plenel. Voici comment ce cuistre a commenté sur son compte Twitter le renvoi de son « collègue » par I-Télé. Après ce que vous allez lire ci-dessous, je vous fiche mon billet que vous n’aurez, tout comme moi, plus qu’une seule envie : tirer la chasse et aller vous laver les mains !

 plenel

Résultat de tout ce cirque ? Là aussi il arrive, et c’est fort plaisant, sous forme d’un retour de boomerang en pleine poire : l’opinion publique est largement choquée par l’éviction (obtenue ou réclamée) du seul éditorialiste politiquement incorrect des médias du système, I-Télé est dans le caniveau de la déontologie et de la crédibilité journalistique, et les ventes du Suicide français explosent à nouveau, provoquant des ruptures de stock dans toutes les librairies de France !

Alors… après leur censure pour les « fachos », bientôt notre coup de pied au cul pour les fâcheux ?

Evènement ubuesque pour continuer…

Quand le « grand remplacement »  de Renaud Camus fête Noël à l’Elysée

On pourrait en rire… Et pourtant ! Quelle image ! Aveuglante ! Incontournable ! Les réseaux sociaux en ont fait leurs gorges chaudes, et je ne m’étendrai pas sur le sujet (l’idée de m’étendre sur François Hollande m’est, je dois l’avouer, fort peu sympathique), La Plume ayant déjà relayé un fort bon papier de Florian de Bonneville paru le 21 décembre sur Boulevard Voltaire.

Comme l’ont fait tous ses prédécesseurs de la Cinquième République, malgré le laïcisme de combat qu’il a lui aussi du pratiquer dans les loges du GO, François Hollande a fêté il y a quelques jours avec des enfants de France le Noël à l’Elysée. Des « enfants de France », en 2014, cela donne donc ceci (voir photo)…

A part ça, le grand remplacement de Renaud Camus est un fantasme putride, les craintes identitaires des « français de souche » un rabougrissement et un fantasme intellectuel sans fondement.

On dit fort justement qu’ « une image vaut mieux souvent qu’un long discours »… Cette photo n’en est-elle pas la parfaite illustration ? Et, sans aucune agressivité aucune pour les bambins qu’on y voit (totalement innocents, eux, des conséquences dramatiques pour la société, la civilisation et l’identité française de cette folle et même suicidaire politique migratoire que nous ont imposée depuis des décennies tous nos gouvernants, de gauche comme de droite), ouvrira-t-elle alors les yeux de ceux qui auront eu l’occasion (sans doute trop rare) de la voir ?

Evènements dramatiques enfin…

Allah, claire fontaine du politiquement correct médiatique…

Cette fois, on bascule dans l’horreur, et du coup, la censure bienpensante, qu’elle soit politique ou médiatique, explose littéralement d’obscénité : ces derniers jours, trois « faits divers de déséquilibrés » selon les journalistes, les responsables (dans tous les sens du terme) gouvernementaux et jusqu’aux bons petits soldats du système que sont les procureur(e)s de la république, ont ensanglanté le sol de France.

Trois faits divers selon le système donc, mais trois attentats ouvertement islamistes selon tous les autres : à Joué-les-Tours, un fou d’Allah a attaqué un commissariat à coups de couteau, blessant plusieurs policiers avant d’être abattu… à Dijon, trois hommes en voiture ont fauché onze personnes, pendant que le conducteur criait «Allah Akbar !» (il est à noter au passage que les deux passagers ont fort mystérieusement disparu de toutes les dépêches d’agence et de tous les « comptes-rendus » télévisés !) A Nantes enfin (et à ce jour…), une camionnette a foncé sur la foule du marché de Noël (et la laïcité bordel ?), heurtant plusieurs personnes, dont l’une, un jeune homme de 25 ans, vient d’ailleurs de décéder. Cinq autres personnes sont hospitalisées dans un état grave. Le chauffard avait après son acte essayé de se poignarder (il s’est malheureusement raté). Selon des témoins et un policier, il avait lui aussi crié « Allah Akbar ! ». On n’en sait pas plus à cette heure, et m’est avis d’ailleurs qu’on tardera longtemps à en savoir vraiment plus, tant certaines vérités ne sont, pour ceux qui sont pourtant censés nous informer, vraiment pas bonnes à dire.

Devant ce dramatique enchaînement médiatique, qui présente l’aveuglant point commun que l’on sait (pour ceux qui sèchent, ça commence par Allah et ça finit par Akbar), nos dirigeants ne trouvent rien d’autre à dire ou à faire que regretter officiellement des « actes isolés » sans « revendications claires »… cela ne s’invente pas.

Quant à la procureur de Dijon, elle bat tous les records de célérité d’enquête, de conclusion judiciaire (et de crétinerie bienpensante à semelles de plomb, il faut bien le dire aussi et surtout). En moins de vingt-quatre heures, tel un Sherlock Holmes de sous-préfecture, et véritable caricature de cette parole officielle qui ne veut décidément pas voir la réalité en face, elle a tout compris, et délivre son message officiel :  « Il ne s’agit pas d’un acte terroriste »… « ce n’est pas un acte religieux c’est un acte politique » (sic), et pour finir en apothéose  « Il a crié Allah Ouakbar pour se donner du courage, ce n’est pas une revendication »… si, si. Cela tombe bien, c’est ce que le gouvernement (et les médias) voulait entendre. Elle ira loin dans la carrière, cette petite !

Son collègue de Nantes a lui aussi tout compris, et délivre rigoureusement le même message, qui colle si formidablement bien à la communication gouvernementale : « cas isolé »… « on ne peut parler d’acte de terrorisme », vous connaissez la chanson.

« Quand le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt »… disait Fucius, qui avait oublié d’être con (Desproges). Quand le bon sens historique, culturel et religieux des Français, quand un trublion médiatique, quand une simple photographie et quand des « Allah Akbar » nous montrent de façon aveuglante ce que devient, jour après jour, et à grands coups de cathophobie, de censure, d’immigration de masse et de fanatisme islamique, la société française, nos chères élites qui ont, elles, sacrément oublié de ne pas l’être (connes, pour ceux qui auraient mal suivi), regardent obstinément ailleurs… et elles le feront jusqu’à l’extrême limite, lorsqu’il sera définitivement trop tard. Jusqu’à quand allons-nous donc encore le supporter ?

Oui, décidément, bienpensance et censure sont bien les deux mamelles de l’Antifrance…

 Marc LEROY – La Plume à Gratter

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 1) Dans l’un de ses derniers articles sur Boulevard… Voltaire, Dominique Jamet affirme : « Voltaire n’a jamais réclamé la censure, l’interdiction, l’embastillement d’un écrit ou d’un homme. C’eût été se renier lui-même, et démentir toute une vie consacrée au combat contre la bêtise, l’intolérance, le fanatisme ». Malgré le respect et l’attention que je lui porte, et à ce degré de grand n’importe quoi, je lui conseille très vivement la lecture (particulièrement instructive sur la vraie nature de son « grand homme ») du formidable livre de Xavier Martin : Voltaire méconnu – Aspects cachés de l’humanisme des Lumières (1750-1800), aux éditions Dominique Martin Morin. Si après cette lecture, il n’avait pas d’ailleurs furieusement envie de débaptiser son site, ce serait à désespérer de tout !

2) Manuel Valls a notamment déclaré, en forme d’appel au boycott et à la censure médiatique d’Eric Zemmour : « ceux qui vont jusqu’à défendre des thèses racistes ou négationnistes, ceux qui construisent leur notoriété sur la peur, la résignation, la réaction, ceux-là ne méritent pas la place qu’on leur accorde dans le débat public. Ils ne méritent pas qu’on les lise ».

3) Le Ministre de l’Intérieur a condamné « avec une extrême fermeté » Eric Zemmour, et affirmé « son soutien aux musulmans de France odieusement attaqués » par le journaliste.

 4) Le patron des députés PS a ouvertement appelé au renvoi de Zemmour, déclarant qu’ « il est temps que les plateaux télé et les colonnes des journaux cessent d’abriter de tels propos », ajoutant un hallucinant : « Jamais depuis la guerre, un personnage public n’avait osé suggérer de déporter nos millions de compatriotes de confession musulmane. Jamais n’avait été théorisée une telle haine, une telle négation de leur appartenance à la communauté nationale ».

 

 

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3 Responses to Bienpensance et censure sont les deux mamelles de l’Antifrance

  1. trechelaplaine le 28 décembre 2014 à 0 h 35 min

    Excellent! Ça fout le bourdon mais ça fait du bien!
    Chaque jour je m’interroge sur la mansuétude (le mot est faible !) des socialistes et leurs compères envers l’Islam radical dont l’objectif final est la destruction de la société occidentale. La crétinerie des « élites » qui nous est offerte quotidiennement et gratuitement par des médias stupides n’explique pas tout ! Quel est le dénominateur commun ?

  2. NOURATIN le 25 décembre 2014 à 12 h 51 min

    Remarquable article! Tout cela saute aux yeux et pourtant nous allons continuer à supporter ces abominations, on ne voit nulle part la sortie. En effet il ne nous reste plus qu’à disparaître c’est sans doute ce qu’il pourra nous arriver de moins pire…Consolons nous, « chacun a le sort qu’il mérite », c’est bien connu…
    Joyeux Noël

  3. Bluebair2.0 le 24 décembre 2014 à 4 h 50 min

    Analyse magistrale qui laisse un gout de sang dans la bouche. Le constat est clair, le diagnostic est imparable.La France agonise, meprisee et haie par ses propres elites. Elle se retire de l’Histoire. Le peuple etouffe- se divise, et se meurt.
    Je n’arrive pas a imaginer la suite…
    Alors, une priere de Noel, peut-etre?

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