Société France

En ce lundi furieux, La Plume remonte la Pentecôte !

25 mai 20158
En ce lundi furieux, La Plume remonte la Pentecôte ! 5.08/5 38 votes

pentecote

Ouf ! On n’est pas encore rendu au sommet, mais le plus dur est passé : La Plume et son taulier, qui avait tout ces derniers jours du forçat de la déroute, ont trouvé refuge sur et devant un nouvel ordinateur. Une bonne partie des outils nécessaires à la gestion du site (traitement de texte, logiciel de traitement d’images, de messagerie, etc.) et plus largement à l’utilisation satisfaisante d’un PC à peu près efficient, les y ont rejoints. La situation est loin d’être parfaite, l’intégralité de mes données et logiciels « perdus » est très loin d’être récupérée (mon disque dur part à la « clinique » dès demain, j’en saurai plus sous 48 heures), mais petit à petit, tout va finir par rentrer dans l’ordre, et je vais donc pouvoir refaire surface, comme si rien ou presque ne s’était passé, afin de reprendre au maximum de mes modestes possibilités ce travail de sniper et de réinformateur qui a motivé la mise en ligne de votre site préféré (oui, bon, il n’y a pas de mal à se faire un peu de bien après une pareille tempête, non mais sans blague !).

Pour reprendre le cours de l’actualité « en douceurs », quoi de plus adéquat qu’une mini Gazette de La Plume, reprenant deux des sujets (et des calembours lamentables dont votre serviteur a le bien peu glorieux secret) qui auraient dû constituer les articles de ces derniers jours, si le diable ne s’en était pas fort malignement mêlé. Voici donc ces noisettes de réinformation, de mauvais esprit et/ou de méchante humeur que les évènements et incidents vous avaient – jusqu’à aujourd’hui – « évités »… avec certes un peu de retard, vous n’y couperez finalement pas !

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 Cette fois, c’est bien le baluchon pour le trou de balle Huchon !

« PS, ton univers impitoyable, glorifie la Loi du plus retors… ». Décidément, la politique version UMPS, c’est pire que Dallas : trahisons, ambitions et reniements se succèdent à chaque nouvel épisode, et celui qui vient de se dérouler rue de Solférino ne déroge pas à la tradition d’un parti qui ne sent plus la rose depuis longtemps (mais l’a-t-il seulement sentie un jour ?).

La raison du dernier psychodrame socialiste a donc été la désignation de la tête de liste des prochaines élections régionales en Ile-de-France. Président sortant de la région, trois fois élu ou réélu à ce poste (depuis 1998), Jean-Paul Huchon, malgré ses casseroles judiciaires (1, 2), son charisme de flan aux pruneaux et sa bonne grosse bouille ronde qui a tout du « derrière d’Escartefigue » (3), espérait bien rempiler pour un quatrième mandat. Las… la direction du PS avait envie (besoin ?) de « sang neuf » pour mener un combat qui, comme dans tout le reste de l’hexagone, risque à l’automne de s’avérer fort délicat, pour ne pas dire, justement, particulièrement « sanglant ».

Le malheureux Huchon n’avait pourtant pas ménagé sa peine pour servir les copains : il avait ainsi et par exemple doublé le nombre d’organismes parapublics au conseil régional, multipliant par la même occasion et dans les grandes largeurs les emplois de complaisance ou de confort pour nombre de ses petits camarades estampillés PS ou alliés politiques dans la région. Le tout aux frais du contribuable francilien, bien entendu. Mais on n’a rien sans vaurien, n’est-ce pas ? Peine perdue, donc : ses collègues du Parti Socialiste n’ont même pas eu la reconnaissance du ventre !

Pour remplacer notre pauvre petit bonhomme Michelin socialiste qui se voyait pourtant déjà calife du « Grand Paris » à la place de la califette Hidalgo, le parti de Cambadélis a donc sorti de sa manche un candidat « surprise » qui n’a lui non plus pas grand-chose d’une rosière : l’inénarrable Claude « Brancabartoleone », actuel Président de l’Assemblée Nationale ! Ou comment remplacer un vieux fusible grillé par un pathétique canasson sur le retour tout aussi peu « bandant » que le premier, vous en conviendrez aisément… ça, c’est du « changement », les cocos sosos zozos!

Jean-Paul Huchon n’avait aucune envie de laisser la place, il est vrai particulièrement bonne pour lui comme pour sa femme, on l’a vu (2) : il avait donc annoncé dès janvier 2015 sa volonté de rempiler pour un quatrième mandat. Sa première vice-présidente, Marie-Pierre de la Gontrie, bonne copine, avait aussitôt annoncé dans la foulée qu’elle briguerait elle aussi la tête de liste. S’annonçait donc une de ces primaires fratricides dont le PS a eu un temps le secret… jusqu’à ce que l’UMP version Sarkozy décide de lui emboîter le pas, en cédant lui aussi au charme médiatique de ces pathétiques courses à l’échalote électorale favorisant tous les calculs, toutes les trahisons, toutes les manipulations, tous les coups bas sous un habillage (on a plutôt envie d’écrire un déguisement) prétendument « démocratique ».

Sentant venir une fois de plus le règlement de comptes truqués à OK Corral, Cambadélis, Valls et Hollande se sont donc mis d’accord pour siffler la fin de partie avant même qu’elle ne commence réellement, pour mettre la poussière socialiste sous le tapis médiatique et tout le monde d’accord, en jetant on l’a dit en pleine lumière un homme providentiel pourtant tout à fait improbable : Claude Bartolone !

Huchon a bien dans un premier temps essayé de faire de la résistance : « Je suis le patron d’une région de 12 millions d’habitants et j’ai gagné trois fois la région. On ne me traite pas comme une serpillière » a d’abord pesté le potentat lâché par ses pairs en rase campagne électorale. « C’est très violent de se voir retirer ses enfants, surtout quand on n’a pas été un mauvais parent ! » a-t-il enchaîné, avant de rajouter : « s’ils voulaient me débrancher, ils n’avaient qu’à m’en parler il y a un an et demi. A l’époque je n’étais pas sûr de vouloir être de nouveau candidat. Ils ne l’ont pas fait. Ils ont préféré m’assassiner au coin d’un bois en moins de 48 heures ». Mais rien à défaire : Huchon, trop plombé par ses casseroles déjà connues et sans doute sous la terrible menace de celles pouvant opportunément sortir des placards de la rue de Solférino en cas de conflit ouvert avec son parti, a finalement accepté, la mort dans l’âme, de jeter l’éponge, donnant officiellement son accord à un « rassemblement des socialistes derrière Claude Bartolone ». Non sans livrer le fond de sa véritable pensée, lors de deux séquences particulièrement explicites, et subrepticement saisies par des journalistes opportunément présents dans les parages :

La première a eu lieu il y a un peu plus de quinze jours lors d’une séance du conseil régional. Jean-Paul Huchon, en pleine discussion avec Pierre Laurent (PCF) et Gabriel Massou (Front de Gauche), lâchant donc sous l’œil indiscret d’un média audiovisuel : « c’est une série de trahisons successives. Bartolone, lui, c’est un spécialiste ».

La seconde s’est également déroulée entre les murs de l’Assemblée régionale, avant que Jean-Paul Huchon ne décide finalement de se retirer. Lors d’une séance, Huchon a été filmé par Canal + recevant d’une élue socialiste le mot suivant : « cher Jean-Paul, La candidature de ‘Barto’ est injuste et elle signifie que le PS est toujours dans les magouilles de bas étages. La machine à perdre est en route ». Et toujours sous l’œil médiatique qui le scrute et dont il ignore la présence, Huchon de lui répondre, en pleine séance de l’Assemblée : « Chère Brigitte, Merci de ton mot et de ta colère. Je ne vois pas pourquoi se retirer et céder. Ils ont exagéré. Le parti est vraiment moribond ». Bonjour l’ambiance !

Ce qui n’empêchera pas, une fois le dénouement finalement intervenu et le désistement de Huchon enfin acté, le « gagnant » Claude Bartolone de venir jouer au Roi Salomon bienveillant en déclarant :  « personne ne s’est sacrifié : tout le monde s’est rassemblé. Rien ne les obligeait à se retirer. Il n’y a aucun marchandage » et encore :  « nous avons eu une discussion politique en confiance, fraternelle »… tu l’as dit, bouffon !

Ne reste plus à présent qu’à trouver une solution de repli, une compensation acceptable, un parachute suffisamment « doré » pour le bon petit soldat Huchon tombé au champ du déshonneur… un poste taillé sur mesure au Ministère de la Culture, ou à l’INA, peut-être ?

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Dites-le avec une Fleur, ou quand la chère coterie recase la Saal amie

Car avec la ploutocratie politico-artistico-médiatique qui est la nôtre, on n’est jamais à l’abri d’une nouvelle histoire de fou, d’une nouvelle preuve de ce cynisme et de ce culot himalayens que ces cuistres péteurs dans le satin sont capables de mettre en œuvre, dès lors qu’il s’agit de sauver du naufrage l’un des leurs, attrapé par mégarde par une patrouille journalistique pourtant très loin de faire du zèle en matière de morale publique. Ainsi des folles aventures ces derniers jours de la si bien nommée Agnès Saal…

La « Saal affaire » remonte au milieu du mois d’avril, lorsque Le Figaro révèle des éléments d’un courrier anonyme de 36 pages envoyé par son auteur aux domiciles personnels des administrateurs de l’Institut National de l’Audiovisuel (INA). Ce courrier anonyme affirme que celle qui  est alors la Présidente de l’Institut depuis à peine un an (nommée à ce poste en avril 2014 par Aurélie Filippetti, à cette époque Ministre de la Culture), et bien que bénéficiant d’une voiture de fonction (avec chauffeur, s’il vous plaît), a accumulé en à peine dix mois des dépenses de taxi absolument exorbitantes : plus de 40 000 euros d’ardoise ! Mais il y a encore  beaucoup mieux : de cette somme déjà scandaleuse, il convient de particulièrement relever les  6 700 euros qui correspondent à des trajets effectués par… son fils, à qui Agnès Saal a eu la généreuse et fort déontologique idée de refiler son code de taxi G7 professionnel ! Le bougre, digne fils de sa mère, ne s’est pas gêné pour en faire très largement usage, c’est le moins que l’on puisse dire !

L’info révélée par Le Figaro est immédiatement diffusée comme une traînée de poudre par les réseaux sociaux, et du coup le reste de la presse est donc bien obligé de suivre. Commence le chapitre le plus improbable du roman jusqu’alors sans tâche de cette énarque, qui avait fait, depuis 1983 et dans la douillette chaleur de cabinets ministériels principalement socialistes, une carrière rectiligne. Prise les mains dans le pot de confiture, Agnès offre d’un seul coup et à son corps défendant au pays , aux Français qui n’en reviennent toujours pas, et pour le même prix (croquignolet, j’en conviens), à la fois « les mains Saal » et la nausée…

Acculée par la patrouille journalistique qui lynche la femme ou l’homme à terre aussi vite et aussi fort qu’elle avait pu la ou le lécher quelques jours plus tôt (Cahuzac et Thévenoud, parmi bien d’autres et pour rester en Socialie, en savent quelque chose) Agnès Saal tente bien d’éteindre l’incendie en s’engageant à rembourser les courses de son fiston et une partie des siennes (dont un bon nombre étaient motivées par des déplacements d’ordre strictement privé), rien n’y fait : la meute a attrapé sa proie, elle ne la lâchera plus. Le 27 avril 2015, à la demande de la Ministre de la Culture Fleur Pellerin, qui ne pense sans doute déjà qu’au prochain Festival de Connes où elle va enfin pouvoir aller minauder en paix (Aurélie Filippetti ne lui y fera plus de misères), Agnès Saal est contrainte à présenter sa démission de la présidence de l’INA, tandis que le Ministère de la Culture annonce une enquête administrative. Fin de l’histoire ? Que nenni !

Le 20 mai, par un jeu de chaises musicales dont il a le secret, le gouvernement fait annoncer que Laurent Vallet, le directeur général de l’Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles (l’Ifcic, si, si, ça existe, et ne rigolez pas trop, c’est bien évidemment une fois de plus avec vos sous que le bidule est en grande partie financé !) a été nommé à la tête de l’INA en Conseil des ministres, en remplacement d’Agnès Saal… laquelle, ni une ni deux… réintègre le Ministère de la Culture, à un poste de « chargée de mission sur les questions de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences ». Cela ne s’invente pas. Un poste dont on ne sait foutrement pas à quoi il pourrait bien servir d’ailleurs, vu… qu’il n’existait jusqu’alors tout simplement pas, et qu’il a été crée spécialement pour permettre la réintégration au ministère de la malheureuse Agnès ! Sans doute la Saal amie aura-t-elle tout le temps de se demander quel besoin réel peut bien justifier sa présence dans son confortable bureau de la rue de Valois, si ce n’est celui de toucher un tout aussi confortable salaire. A noter que la Fleur qui nous sert de Ministre a tout de même tenu à préciser que ce poste inédit n’en était pas une (de fleur), osant carrément déclarer, je cite : « ce n’est pas une création de poste et donc un privilège qui aurait été donné à Agnès Saal… il ne faut pas donner l’impression qu’Agnès Saal n’a pas été sanctionnée. Il y a eu une réelle sanction puisqu’elle était présidente de l’INA, elle est aujourd’hui chargée de mission. C’est une vraie sanction pour le coup ». « Pas une création de poste », un poste… crée pour l’occasion qui n’existait jusqu’alors pas (je sais, je fais dans le pléonasme, mais avouez que cela le mérite !) ? « Une vraie sanction », un emploi quasi fictif grassement rémunéré pour quelqu’un pris en flagrant délit de détournement de fonds publics ? Mais « jusqu’où s’arrêteront-ils » (4) ?

Espérons en tout cas que tout sera fait cette fois pour éviter que la pauvresse n’y soit à nouveau victime de son terrible TOC (Taxiphilie Obsessionnelle Compulsive). Avouez qu’il serait fort dommage que ce remarquable serviteur de l’Etat, Officier de la Légion d’Honneur et de l’Ordre du Mérite (ben si…), connaisse une nouvelle crise : il serait sans doute un peu difficile de la recaser… à l’INA, comme sa collègue haute fonctionnaire (et peut-être ou sans doute copine, voir plus bas ?) Agnès (encore une !) Chauveau.

Agnès Chauveau, mais si, rappelez-vous ! Directrice de l’école de journalisme de Sciences Po, cette dernière avait été accusée de plagiat en novembre 2014 par le site Arrêt sur Images. En effet, après avoir scruté les chroniques qu’elle tenait sur France Culture au filtre d’un logiciel anti-plagiat, Arrêt sur Images avait relevé de très nombreuses reprises de phrases au mot près d’articles ou de livres écrits par d’autres, sans que jamais aucune source ne soit pourtant citée par la donzelle, lors de ses chroniques rémunérées sur la radio de sévice public. Mise en congé provisoire par Sciences Po le temps de l’enquête qui avait suivi le mini-scandale provoqué par le site de Daniel Schneidermann, Agnès Chauveau avait finalement été « remerciée » fin janvier.

Ce qui n’avait pas empêché l’INA d’Agnès Saal (« qui se ressemble s’assemble », dit fort justement le proverbe) d’oser lui offrir, le 1er avril (véridique !) un parachute administratif doré à l’intitulé lui aussi on ne peut plus mystérieux, pour ne pas dire fumeux :  celui de « déléguée à la stratégie éditoriale et éducative, membre du comité exécutif ». Sa mission ? « Superviser et piloter le développement d’une politique éditoriale et éducative innovante », avait alors indiqué l’INA. Ca ne s’invente pas.

De haute administration indélicate en ploutocratie qui ose tout, d’Agnès en Agnès, d’INA en INA, de Fleur à la boutonnière du déshonneur en blouson de cuir Louboutin, elle n’est pas « plus belle la vie », en Hollandie (comme hier en Sarkozie, d’ailleurs) ?

 

Marc LEROY – La Plume à Gratter

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1) Ses comptes de campagne ont été retoqués par le Conseil d’État en 2011, qui l’a condamné à rembourser 1,6 million d’euros, mais (quelle surprise !)  sans pour autant annuler son élection.

2) Suite à une lettre anonyme de novembre 2004 dénonçant l’existence d’emplois fictifs au conseil régional d’Île de France, Jean-Paul Huchon a été jugé avec son épouse pour « prise illégale d’intérêts dans des marchés publics » passés en 2002 et 2003, entre le conseil régional et les sociétés de communication Image Publique, Sertis et LM Festivals, sociétés employant justement… Dominique Le Texier, c’est-à-dire… la femme d’Huchon ! Etonnant, non ? Il a été condamné à 6 mois de prison avec sursis, 60 000 euros d’amende et un an d’inéligibilité le 20 février 2007 par le tribunal correctionnel de Paris. La peine a été confirmée en appel le 21 novembre 2008, mais en faisant tout de même sauter au passage… l’inéligibilité ! Divine providence !

3) Dialogue de César, de Marcel Pagnol, dans la scène de la mort de Panisse.

4) « Jusqu’où s’arrêteront-ils ? Je ne le sais ni, et que Dieu nenni ! » Coluche.

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8 Responses to En ce lundi furieux, La Plume remonte la Pentecôte !

  1. nouratinbis le 26 mai 2015 à 19 h 35 min

    Parfait, ça repart sur les chapeaux de roue! On sent que vous avez accumulé de l’énergie qui ne
    demande qu’à se dépenser…et avec les voyous qui dirigent actuellement le Pays, vous avez de quoi
    défouler tout cela…il faut bien que ces salopards présentent quelques gouttes d’avantages dans un
    océan d’inconvénients affreux!
    Amitiés.

    • marc le 28 mai 2015 à 18 h 07 min

      Merci Maitre,

      fidèle entre les fidèles ! Je vois en effet enfin le bout du tunnel (ce qui n’est vraiment pas le cas de la France), le moral remonte, je vais pouvoir recommencer, comme vous, mon travail de sniper de salubrité publique ! Mort aux cons et aux salauds ! Diable, quel programme, et… quelle hécatombe en perspective !

      Merci de votre soutien

      Amitiés et même bien plus encore

  2. Catherine B le 25 mai 2015 à 18 h 35 min

    Vous versez dans la psy Marc, pas mal trouvé le TOC! taxiphilie obsessionnelle compulsive, bravo et courage, merci pour votre travail surtout!

    • marc le 28 mai 2015 à 18 h 09 min

      Merci Catherine,

      de votre soutien qui m’a fait chaud au coeur durant ces heures fort pénibles !

      C’est reparti pour un tour. On les aura !

      Bises

  3. BOUTFIL le 25 mai 2015 à 17 h 45 min

    bon, ça va mieux alors ! bisous

    • marc le 28 mai 2015 à 18 h 10 min

      Oui mon adorée,

      c’est reparti. J’espère que les nouvelles de la clinique (pour mon disque dur, et donc mon portable) seront rassurantes d’ici la fin de la semaine :-(

      Grosses bises et à bientôt !

  4. lors le 25 mai 2015 à 17 h 25 min

    un changement saalvateur en 2017 pour remettre de la salubrite, virer les saalauds , les saalopes et les cornhuchons

    • marc le 28 mai 2015 à 18 h 11 min

      Merci mon cher lors,

      toujours su le pont du navire, même quand il vire au Titanic ! L’iceberg est passé près, mais la coque flotte encore !

      Amitiés

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