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Sur-délinquance ? C’est la sur-immigration qui l’explique ! Par Jean-Yves Le Gallou

6 mai 20140
Sur-délinquance ? C’est la sur-immigration qui l’explique ! Par Jean-Yves Le Gallou 5.00/5 4 votes

Publié le : 06 mai 2014

Source : bvoltaire.fr

Au premier trimestre 2014, les faits de violence ont augmenté de 6 % par rapport au premier trimestre 2013. 8 %, même, pour les actes de violence « gratuits ».

Il n’y a pas lieu d’être surpris. Depuis 40 ans, les violences contre les personnes ne cessent d’augmenter, passant de 100.000 à 500.000 par an.

Tous les plans annoncés, toutes les lois votées ont échoué à enrayer ce phénomène. Pour une raison simple : personne ne veut en analyser l’origine. Les vraies causes, les voici : il y a de plus en plus de délinquants, de moins en moins de policiers opérationnels, et le nombre de places de prison n’a pas évolué.

Disons les choses : la délinquance n’est pas également répartie sur le territoire. Là où il y a sur-immigration, il y a sur-délinquance : d’après le SIRASCO (service statistique de la police judiciaire), les trois quarts des bandes criminelles sont étrangères ; plus de 20 % des détenus sont de nationalité étrangère ; plus de 50 % sont musulmans ; moins d’une place de prison sur trois est occupée par un Français de souche. La montée de la délinquance violente est donc la conséquence arithmétique de la poursuite de l’immigration et de son extension en provenance de nouvelles zones géographiques (les Balkans, par exemple).

Dans le même temps, les effectifs de policiers et de gendarmes sont restés stables mais leur productivité a considérablement diminué :
- dans les « zones sensibles » (y compris le centre de Paris !), les patrouilles à deux ont été remplacées par des patrouilles à 3 ou à 4, voire davantage ;
- et comme le Code pénal a triplé de volume, les procédures sont plus lourdes et plus complexes ; il faut donc davantage d’hommes pour arriver à monter les dossiers.

La construction de prisons n’a pas, non plus, suivi la croissance de la population, encore moins celle des banlieues de l’immigration. Or, si la prison n’est pas la panacée, elle a au moins un mérite incontestable : elle réduit à zéro l’activité délinquante (hors les murs, en tout cas) des détenus. Plus il y a de délinquants à l’ombre, moins il y en a dans la rue. La société multiraciale américaine survit en emprisonnant en permanence plus
de 2 millions de personnes ; dans ce que certains considèrent comme le « modèle américain », 2 % des jeunes hommes noirs sont derrière les barreaux.

À partir d’un bon diagnostic, arrêter la hausse de la délinquance violente est donc possible. Voici quelques remèdes simples :

- faire une pause législative d’abord, car « les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires » (Montesquieu) ;

- arrêter l’immigration ;

- engager une politique de remigration en commençant par l’expulsion des étrangers délinquants ;

- adapter le nombre de places de prison à l’évolution de la population délinquante.

La montée de la délinquance n’est pas une fatalité : il suffit de jeter cul par-dessus tête les billevesées politiquement correctes.

Jean-Yves Le Gallou

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