Posté par : RTL Toujours avec vous 16-02-2016
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Publié le : 12 novembre 2015 Source : lengadoc-info.com Dominique Reynié, candidat « vu à la télé » des « Républicains » pour la présidence de la future région Midi-Pyrénées Languedoc-Roussillon, ne cesse de faire parler de lui depuis quelques semaines. La plupart du temps dans la rubrique des faits divers politiques, plutôt que pour son programme. Au menu des derniers jours : l’accord au sommet de l’Etat qui a validé sa candidature, et le partenariat noué entre Fondapol et le site crypto-islamiste Saphirnews. Le 10 novembre, en fin d’après-midi, le ministère de l’Intérieur a enregistré la candidature de Dominique Reynié. Selon Laurent Dubois, journaliste politique pour France 3 Midi-Pyrénées, cette décision ne repose aucunement sur une analyse juridique du cas posé par Dominique Reynié. Il s’agit en effet d’une validation purement politique, voulue par le premier ministre Manuel Valls, lequel disait récemment qu’il fallait « assumer l’UMPS »....
Publié le : 08 novembre 2015 Source : nice-provence.info En présentant la liste de son comité de soutien, Christian Estrosi, tête de liste des Républicains aux prochaines élections régionales de décembre 2015, a montré qu’il préparait d’ores et déjà le « Front républicain » pour l’emporter au deuxième tour dans un probable face à face avec le Front National. Pour bien comprendre, il convient de rappeler que le mode scrutin des élections régionales est un scrutin proportionnel de liste à deux tours avec prime majoritaire. Pour se maintenir au second tour, une liste doit recueillir au moins 10 % des suffrages exprimés. Une liste qui a recueilli au moins 5 % des suffrages exprimés peut fusionner avec une liste qui se maintient au second tour. À l’issue du second tour, un quart des sièges du Conseil régional est d’abord attribué à la liste arrivée en tête (d’où ce qualificatif de « prime majoritaire »)....
Hollande-Sarkozy, Sarkozy-Hollande… l’UN qui coupe les oignons, l’AUTRE qui pleure. L’AUTRE qui recoupe les morceaux d’oignons, l’UN qui pleure à son tour. Dieu merci, il semble que les Français en ont enfin plus qu’assez du pathétique numéro de cirque...
Rappelez-vous, c’était le 29 mai 2005 : à l’issue du référendum sur la ratification de la Constitution européenne pondue par Giscard, un référendum du reste initié dans un instant de pure étourderie par le Roi fainéant Jacques Chirac...
