
Emmanuel Ratier, encore, toujours, hélas… le seul journaliste ou presque qui fait son métier. Posté par : Médias-Presse-Infos 17-01-2015
Cinq jours après l’attaque du Charlie Hebdo, le Cercle des Volontaires a souhaité de nouveau s’entretenir avec Jean-Loup Izambert afin de décrypter les événements, qui se sont soldés par la mort des trois djihadistes. Après une courte analyse des faits, nous revenons sur les réactions politiques, et notamment la manifestation de dimanche, à Paris et dans plusieurs villes de province. Ensuite, nous évoquons ce que révèle l’utilisation de l’expression « La France est en guerre » par nombre de commentateurs dans les médias « mainstream ». Enfin, nous nous interrogeons sur la vague d’indignation internationale qui a pris la forme du slogan « Je suis Charlie », omniprésent notamment sur les réseaux sociaux. Jean-Loup Izambert est journaliste indépendant, ancien collaborateur à VSD, Les Echos et L’Humanité. Il finalise actuellement l’écriture d’un livre, « 56″, résultat d’enquête sur les liens entre des politiciens socialistes français et la mouvance terroriste. Posté par...
Publié le : 09 jnavier 2015 Source : cercledesvolontaires.fr Suite aux récents événements, nous avons souhaité nous entretenir avec le Brigadier Toul*, afin de mieux comprendre le déroulement des faits, les protagonistes, et l’action des services secrets français ainsi que celle de notre gouvernement. Nous précisons encore une fois que nous ne partageons pas forcément l’ensemble des positions et des analyses des personnes que nous interrogeons, des points de vue que nous relayons. Cercle des Volontaires : Vous me disiez que les personnes qui ont commis l’attaque de Charlie Hebdo et la personne qui a commis la prise d’otage à Porte de Vincennes appartiennent au même groupe ? Brigadier Toul : C’est le même groupe. Les gars ont décidé de faire leur djihad et ils vont aller au carton jusqu’au bout. Donc c’est exactement le même groupe et sur ce groupe il en manque sept qui sont toujours sur...
Publié le : 06 décembre 2014 Source : parismatch.com Samedi 29 novembre, dans un des bureaux du président syrien, à Damas. Rien ne laisse présager la guerre civile qui se joue au dehors. Sauf des dessins, ceux d’orphelins de soldats réguliers tombés sous le coup d’attentats « terroristes », mêlés à ceux de ses propres enfants. En exclusivité, l’entretien accordé par le président syrien Bachar El-Assad à Paris Match, le samedi 28 novembre, dans la capitale syrienne. _____ Monsieur le Président, après trois ans de guerre, au point où nous en sommes aujourd’hui, regrettez-vous de ne pas avoir géré les choses différemment au début, lorsque les premiers signes de révolte sont apparus, en mars 2011 ? Vous sentez-vous responsable ? Bachar El-Assad : Dès les premiers jours, il y avait des martyrs de l’armée et de la police. Nous avons donc, dès cette époque, fait face au terrorisme. Il y avait des manifestations, certes,...
1ère partie : Les djihadistes français, qui sont ces convertis ? _____ 2ème partie : 2017: Hollande à la case primaire ? _____ 3ème partie : Loi Taubira, faut-il abroger Nicolas Sarkozy ? _____ 4ème partie : Une loi contre la fessée ? Il y a des claques qui se perdent _____ 5ème partie : Coupe Davis, allez la France ! Posté par : itelé.fr 21-11-2014