
... le langage officiel de la République « Tout cela, répétons-le, est affaire de délicatesse. On ne dit plus un infirme, on dit un handicapé. On ne dit plus un vieux, on dit une personne du troisième âge…
Publié le : 17 jullet 2013 Source : bvoltaire.fr Le gouvernement n’est peut-être pas encombré de virtuoses du plein emploi et de champions en baisse de délinquance, mais une chose est désormais bien établie : Manuel Valls et François Hollande s’y connaissent en chemin de fer. Une telle vitesse de diagnostic permet même d’affirmer que nous sommes en présence de deux prodiges. Les Nostradamus de la catastrophe ferroviaire ! Dès les premières heures qui suivaient l’accident en gare de Brétigny, avant le moindre avis d’ingénieur, le plus petit rapport d’expert, Manuel Valls affirmait avec le sérieux surjoué que nous lui connaissons : « Nous n’avons pas le sentiment qu’il s’agisse d’un acte de malveillance. » Nous n’avons pas… Il y a déjà eu concertation. Les éléments de langage ont été distribués à la cantonade. Le doute n’est pas autorisé. Et François Hollande d’enfoncer le clou alors qu’il vient de sortir miraculeusement indemne du défilé...
Publié le : 14 janvier 2013 Source : bvoltaire.fr En ce lendemain de Manif pour tous, les victimes collatérales étaient à attendre. La preuve par Xavier Bongibault qui se trouve bien embêté après avoir comparé François Hollande à Adolf Hitler. Avant de regretter la saillie, il avait néanmoins expliqué : « C’est une logique choquante et homophobe de la part de ce gouvernement. C’est dire que tous les homosexuels n’ont pour seul instinct politique que leur orientation sexuelle. C’est la ligne que l’Allemagne a bien connue à partir de 1933, et c’est la ligne que défend aujourd’hui François Hollande. » Ce n’est pas totalement faux, mais aussi un peu court ; Ernst Roehm, patron de la SA, était plus connu pour courir le gueux que la gueuse. Entre autres motifs d’agacement du Führer, il en paya le Juste prix. Mais on ne voit toujours pas le rapport avec François Hollande, Xavier Bongibault...
Publié le : 18 novembre 2012 Source : polemia.com Six mois à peine après avoir accédé à l’Elysée, en juin 2012, François Hollande voit disparaître la confiance de l’opinion. C’est normal pour l’élu d’une minorité de Français qui n’a dans la vie réelle ni pouvoir économique et financier (ce sont les banques et les organismes internationaux qui l’exercent), ni pouvoirs régaliens (ce sont, de facto, les juges européens et constitutionnels qui font les lois sur l’immigration et la sécurité). D’où la crise du pouvoir politique, que le dérisoire spectacle de l’affrontement Copé/Fillon à l’UMP ne peut qu’amplifier. C’est ailleurs qu’il faut regarder les faits porteurs de sens. – Samedi 20 octobre, 73 jeunes identitaires occupent le toit de la mosquée (en chantier) de Poitiers. Il faut voir dans cette occupation un geste symbolique du refus de l’islamisation de la France où les grandes mosquées n’ont pas leur place :...
Publié le : 13 novembre 2012 Source bvoltaire.fr Benjamin Biolay a du talent. A largement contribué à la résurrection d’Henri Salvador, avec son album Chambre avec vue. Mieux, Home, galette enregistrée avec sa compagne de l’époque, Chiara Mastroianni, était un petit bijou, d’ailleurs salué dans les pages de National Hebdo, défunt organe du Front national ; il n’est pas de notoriété publique que l’artiste ait fait procès… Benjamin Biolay, vient de sortir son dernier opus, baptisé Vengeance… Et dans la chanson éponyme, enregistrée avec Carl Barât, fils d’un groupe londonien assez peu prolétarien, The Libertines, il chante : « La vengeance est un plat que certains mangent froid, comme Stirbois s’est mangé son cèdre… » Déjà, c’est nul point de vue rimes. « La vengeance est un plat que certains mangent froid, comme un cèdre s’est mangé Stirbois… », ça aurait eu plus de gueule, en admettant toutefois que le cèdre pousse en...
Publié le : 24-01-2012 Source : novopress.info VIENNE (NOVOpress) – On pourrait croire à une plaisanterie mais l’affaire est très sérieuse et montre à quel point la « chasse au nazis », réels ou supposés emprunte parfois d’étranges chemins. Ainsi, la décision de l’UNESCO d’exclure les bals de Vienne mondialement célèbres de la liste du patrimoine culturel de l’Autriche en raison de la popularité qu’ils auraient auprès de « néonazis » peut paraître étrange. En effet, l’exclusion des bals légendaires, dont l’histoire est vieille de 250 ans, de la liste de l’UNESCO est motivée par le fait que le bal annuel des étudiants attirait, selon certaines informations, un trop grand nombre de représentants des organisations dites « d’extrême-droite ». C’est notamment sous la pression de l’extrême gauche et d’activistes « antifascistes » ne supportant pas que des corporations d’étudiants nationalistes puissent s’associer aux célèbres bals que l’UNESCO a pris...