Politique France

Valls tragique à l’Assemblée nationale : un mort… de rire, de ridicule, de honte

11 mars 20156
Valls tragique à l’Assemblée nationale : un mort… de rire, de ridicule, de honte 5.00/5 39 votes

Le ridicule ne tue pas… hélas ! Mille fois hélas ! L’outrance, l’indécence, la malhonnêteté intellectuelle non plus. Manuel Valls ne pourra jamais assez remercier la providence pour ce malheureux état de fait. Nous, par contre… Regardez donc son visage défiguré par la haine, vermillon, à la fin de sa diatribe, face à une jeune femme de 25 ans : ce type n’est pas seulement une crapule politicienne d’exception, un sectaire de gala, un voyou de la politique : c’est bien plus encore un vrai malade mental, un fou dangereux…

Manuel Valls à l’Assemblée nationale, « répondant » à Marion Maréchal Le-Pen

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Halte au fou !

Pour « l’image de notre pays », pour celle de « notre France », j’encourage tous ceux qui n’avaient pas l’intention d’aller voter aux élections départementales et qui lisent ces lignes à se rendre en masses aux urnes, pour botter le cul, pour fracasser ce « parti à la rosse » composé de sectaires et/ou d’incapables, infesté de bandits de grand chemin jusqu’au plus hauts sommets de sa hiérarchie son oligarchie (et dont les deux derniers premiers secrétaires sont d’ailleurs des repris de justice), qui détruit notre économie, notre modèle social, nos structures familiales, qui dilue notre identité dans l’immigration de masse et la mondialisation, et insulte désormais ouvertement les Français qui renâclent et ses représentants démocratiquement élus. Puisque Cambadélis et Valls « stigmatisent » à tout va et osent parler de « fonds de poubelles » (sans provoquer la moindre condamnation de médias qui n’en pensent pas moins) pour qualifier les candidats issus du peuple, de ces « sans dents » hollandiens, qui composent les binômes du FN aux élections départementales, allez voter ! Pour qui vous voulez : FN, blanc ou même UMP si vous n’avez malheureusement pas encore compris… mais en tout cas contre ce parti qui se cache encore derrière une rose, mais qui ne la sent décidément plus depuis bien longtemps, afin d’expédier ses représentants aux poubelles qu’il évoque pour qualifier ses adversaires politiques, mais cette fois celles de l’histoire, afin d’enclencher – enfin ! – la grande marche vers la souveraineté retrouvée, la retraite au Flambi, et envoyer Manuel Valls, le Premier sinistre, leur nouvelle tête de gondole ou plutôt leur pathétique tête de truc, leur caudillo hystérique à la camisole de force qu’il n’aurait en réalité jamais dû quitter. Du balai, l’agité du bocal, du balai le Président de la Hollandie, du balai les guignols du PS, bon sang ! Circulez, y a plus personne à avoir ! De l’air, et basta… merde, quand même !

Marc LEROY – La Plume à Gratter

 

 

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6 Responses to Valls tragique à l’Assemblée nationale : un mort… de rire, de ridicule, de honte

  1. trechelaplaine le 12 mars 2015 à 10 h 25 min

    Ce psychopathe bipolaire est en pleine phase maniaque. Après les départementale, il devrait être dans sa phase dépressive.

    • trechelaplaine le 12 mars 2015 à 10 h 26 min

      départementaleS

  2. lors le 12 mars 2015 à 8 h 02 min

    il est con des sans dents avec » les petites gens » mais ce n est pas parce qu il vient d ESPAGNE qu il est « GRAND »

  3. NOURATIN le 11 mars 2015 à 19 h 06 min

    Bien parlé, merde à la fin, dehors à grands coups de bottes dans le fondement!
    Fracassons le, puisque apparemment il ne demande que ça, cet abominable sinoque!
    Bonne soirée.

  4. lors le 11 mars 2015 à 12 h 31 min

    C EST curieux comme il demarre calmement pour devenir hysterique , incontrole comme sa main gauche …

    • Catherine B le 11 mars 2015 à 13 h 15 min

      C’est la « geste » so-scie-à-lice-teuh(le teuh, c’est pour faire un peu la vache!° Ceci dit, j’aime beaucoup les vaches, mais les vraies.

      C’est que chez ces gens-là, tout est collé, y’a plus d’espace, l’espace étant par définition, le lieu du « philosopher » là, nenni, rien, no pasaran l’espace, c’est leur monde ou rien.

      Moi, je préfère le rien, car le rien est plein de potentialités, ne reste plus qu’à les actualiser nos potentialités!

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