
Discours de Marine Le Pen au meeting de Milan, réunissant le 28 janvier 2016 l’ensemble des leaders du groupe Europe des Nations et des Libertés (ENL) au Parlement européen. Posté par : ENL France 28-01-2016
Publié le : 21 janvier 2016 Source : polemia.com Haro sur les Polacks ! Ayant rempli leur parlement de députés identitaires, la bien-pensance leur tombe dessus. Une de leurs volontés est de refuser la submersion de migrants imposée par l’Union européenne (UE). Ceux-ci sont désormais la cible d’UEcrates les menaçant de sanctions exemplaires s’ils en refusent les diktats. En France, les 40% d’électeurs (1) ayant voté (au moins une fois) pour les listes FN aux régionales sont une fois encore assimilés à des racistes décérébrés motivés par la haine. On nous présente Donald Trump, candidat à la présidence des USA, comme l’incarnation de l’imbécile. Son public est white, white. On ne parlera pas de ce qui se passe dans d’autres pays, eux aussi en proie au vote identitaire, en général, et au vote Blanc, en particulier. Le melting pot commun Notre planète a fait l’objet d’un brassage de populations phénoménal...
Publié le : 11 janvier 2016 Source : dedefensa.org Le président du Parlement Européen, l’Allemand Martin Schulz, est bien une sorte de missile de croisière à tête semi-nucléaire de Merkel et accessoirement de l’UE, visage de l’Allemagne démocratique-et-européenne ayant mis au pas la Grèce et s’apprêtant à faire de même avec la Pologne. Sa doctrine est toujours la même, avec une référence évidente à l’esprit : regime change. Le 3 juillet 2015, nous notions ses interventions à propos de la Grèce qui allait voter par référendum, vainement d’ailleurs, dans un sens insatisfaisant pour le duumvirat Merkel-UE : « Dans une interview au quotidien économique allemand Handelsblatt, Schulz espère 1) la victoire du “oui” en Grèce, ce qui n’est pas trop méchant dans le climat ambiant, 2) la démission immédiate du gouvernement Tsipras, ce qui est plus précis mais pas exceptionnel, 3) son remplacement immédiat par un gouvernement de technocrates. Ce point (3)...
Publié le : 16 janvier 2016 Source : boursorama.com Le torchon brûle entre le chef du gouvernement italien Matteo Renzi et la Commission européenne autour de la flexibilité budgétaire et de la crise migratoire, sur fond de différends plus profond entre Rome et Berlin. L’escarmouche, qui a eu lieu vendredi avec le président de la Commission Jean-Claude Juncker, a été sans précédent: « L’Italie mérite le respect » et « ne se laisse pas intimider », a grondé le président du Conseil Matteo Renzi. Sur la chaîne Canale 5, M. Renzi, très remonté, a assuré que la flexibilité budgétaire qu’il juge nécessaire pour stimuler la croissance dans l’UE avait été acceptée « après que l’Italie l’a réclamée de manière très, très insistante ». « La flexibilité, c’est moi qui l’ai introduite, pas lui. J’ai beaucoup de respect pour le président du Conseil, mais il a tort d’offenser la Commission européenne », avait lancé auparavant le président luxembourgeois...
Publié le : 02 janvier 20166 Source : dedefensa.org Nous avions déjà signalé (le 14 novembre 2015, avec une réaction polonaise aux attentats 11/13 de Paris) la situation nouvelle en Pologne que présentait l’arrivée au pouvoir par verrouillage hermétique du Parti Droit et Justice (PiS), vainqueur des présidentielles en mai et surtout des législatives en octobre (majorité absolue au Parlement). Cela a conduit fin novembre à la formation d’un gouvernement dirigé par Jaroslaw Kaczynski, le rescapé du fameux duo des frères jumeaux, ultranationalistes, catholiques-conservateurs, antirusses et eurosceptiques polonais. (Lech Kaczynski, alors président de la Pologne, est mort dans l’accident de son avion en procédure d’atterrissage, à Smolensk, le 9 avril 2010 , alors qu’il se rendait à une cérémonie à la mémoire des morts de Katyn. Le cas a été et reste l’objet d’une polémique à propos des circonstances et des responsabilités.) L’événement de...
Publié le : 08 janvier 2016 Source : lefigaro.fr La crise des migrants ébranle l’Europe. En Allemagne, Angela Merkel affronte une opinion publique de plus en plus hostile. L’analyse de l’intellectuel néerlandais Thierry Baudet. _____ Dans votre livre Indispensables frontières vous estimiez qu’un des problèmes majeurs de l’Europe résidait dans son absence de frontières intérieures. Alors que la crise migratoire n’a toujours pas trouvé de solution, il faudrait revenir aux frontières intérieures? Thierry Baudet : Absolument. Et pas seulement pour des raisons pratiques. Je pense que c’est un droit moral inaliénable pour les nations que de pouvoir décider seules de ceux qu’elles veulent accueillir et de ceux qu’elles ne veulent pas laisser entrer chez elles. Aucun aréopage bureaucratique supranational ne peut réclamer cette prérogative. La Convention de Schengen est entrée en vigueur en 1995. Plus de vingt ans plus tard, comment se fait-il que l’espace Schengen soit constamment comparé...