Articles liés pour ‘ Richelieu ’

De Gaulle : sous la statue, le volcan – Par Yannick Jaffré

La Plume parcourt le Net
Le 25 août 20170
De Gaulle par Jaffré

Publié le : 199 février 2017 Source : yannickjaffre.fr De quoi De Gaulle est-il aujourd’hui le nom ? Celui d’une occultation  assourdissante. Plus on commémore le grand homme – invoqué comme un mort illustre, enfoui sous les trémolos – plus on cherche à étouffer, sans y parvenir, la clameur du Politique. Nietzsche voyait dans l’« histoire monumentale » le résultat d’une double opération : signaler dans le passé des figures exemplaires ; édifier le peuple par l’exaltation de ce panthéon national. Mais dans un pays, le nôtre, qui pratique depuis quarante ans la repentance et l’autophobie, les monuments historiques subissent de méticuleuses démolitions contrôlées. Si De Gaulle est à peu près le seul à rester debout dans la période moderne, il ne faut pas s’y tromper : on ne l’épargne jamais que pour l’embaumer. La grande ombre historique, trop proche, est aussi trop dangereuse pour l’ordre établi dès qu’on retourne le regard vers qui...

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Richelieu entre pouvoir et sacralité – Une conférence de Arnaud Teyssier (Cercle Aristote, 19 janvier 2015)

Conférences & Colloques
Le 12 mars 20150
Richelieu entre pouvoir et sacralité – Une conférence de Arnaud Teyssier (Cercle Aristote, 19 janvier 2015)

Arnaud Teyssier analysait le 19 janvier 2015 pour le Cercle Aristote le cardinal de Richelieu, comme un Homme d’Etat et d’Eglise au service de la France. Posté par : Pierre Yves Médias France Libre 04-02-2015

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Feu le roman national – Par Sylvain Pérignon

La Plume parcourt le Net
Le 27 avril 20140
Histoire-de-France-A-Aymard

Publié le : 24 avril 2014 Source : cerclearistote.com Ma mère est décédée en décembre 2011, à l’âge de 101 ans. Née en 1910, elle gardait le souvenir de la Grande Guerre et racontait à ses enfants, puis à ses petits-enfants, qu’à l’école on leur faisait déchirer en lambeaux des tissus usagés, pour en faire de la charpie destinée au pansement des blessés. Elle se souvenait avoir accompagné ses parents à Paris, le 14 juillet 1919, pour voir le grand défilé de la Victoire, les troupes françaises et alliées défilant sous l’Arc de Triomphe, menées par les maréchaux vainqueurs, Joffre, Foch et Pétain. La France, pourtant saignée à blanc, se croyait encore une des premières puissances mondiales. Mais ce n’était plus qu’une illusion. Le traité de Versailles, signé quelques jours avant le défilé de la Victoire, ne marqua pas la fin de l’Histoire, mais celle de la première mi-temps...

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