
Sale temps, très sale temps pour la bienpensance : depuis plusieurs mois, une mode électorale, une lubie populaire s’imposent de plus en plus sur la planète, et ce qui semblait pourtant n’être au départ à beaucoup de ceux ...
Note de La Plume : j’ai relayé sur le site l’entrevue assez scandaleuse de Marine Le Pen par la « Ruth Elkrief » québécoise, Anne-Marie Dussault, et le compte-rendu absolument sidérant qui en a été fait sur les médias français, notamment Le Petit Journal de Canal +. Je poste ici deux autres entrevues qui, comme l’article de Sophie Durocher (également relayé sur La Plume), sont à même de nous réconcilier avec nos chers cousins de la Belle Province. La pensée unique fait certes (et peut-être encore plus encore qu’en France) des dégâts au Québec, mais il y a aussi des journalistes honnêtes ! Suit une troisième vidéo assez délectable (pour le fond comme pour la forme, l’accent épatant des intervenants file la banane !) qui compare l’entrevue de Dussault avec un combat de boxe laissant la journaliste au tapis. A consommer sans modération ! _____ Entrevue sur FM93 avec Sylvain Bouchard,...
Publié le : 30 mars 2016 Source : journaldemontreal.com Comme c’est bizarre. Alors que l’entrevue (match de boxe?) Anne-Marie Dussault vs Marine Le Pen a été amplement critiquée au Québec, de l’autre côté de l’Atlantique, en France, c’est Le Pen qui passe pour avoir été mise K.O. Que s’est-il passé ? Il s’est passé qu’en France l’émission satirique Le petit journal a proposé un micromontage de l’entrevue de 30 minutes en ne gardant que les portions qui l’arrangeaient. Ils ont charcuté et tronqué une entrevue jusqu’à la dénaturer.Dans certains cas, ils ont gardé une question de Dussault mais ont complètement occulté la réponse cinglante de Le Pen… C’est à la limite de la propagande… Si je prends un match de hockey Canadiens-Bruins et que je ne garde au montage que les buts marqués par les Bruins, je peux réussir à vous faire croire qu’ils ont gagné la partie. Alors...
De 1963 à 1974, la GRC (Gendarmerie royale du Canada) a mené une lutte implacable contre le mouvement indépendantiste au Québec. Manipulations, provocations, cambriolages, incendies criminels, conspirations, voilà quelques-uns des méfaits les plus célèbres de la GRC durant cette guerre secrète. En 1970, après l’assassinat du ministre fédéral Pierre Laporte, la section antiterroriste de la police de Montréal recrute Carole De Vault pour qu’elle infiltre le FLQ (Front de libération du Québec) et découvre où James Richard Cross est séquestré. Pour prouver sa crédibilité au sein du groupe, la jeune femme n’hésite pas à organiser un hold-up. Mais ses activités ne cesseront pas avec la fin de la crise d’Octobre. Elle mettra sur pied de fausses cellules du FLQ et commettra avec des complices une série d’actes terroristes. La police réussira ainsi à maintenir un climat de peur et d’insécurité au sein de population et à ralentir le mouvement...