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« La diplomatie française au Moyen-Orient » – Colloque de l’Académie de Géopolitique de Paris (23 juin 2016)

Conférences & Colloques
Le 26 juin 20160
« La diplomatie française au Moyen-Orient » – Colloque de l’Académie de Géopolitique de Paris (23 juin 2016)

Dans le cadre de ses analyses des grandes questions géopolitiques du monde d’aujourd’hui, l’Académie de Géopolitique de Paris, organisait le jeudi 23 Juin 2016 à l’université de la Sorbonne, un colloque intitulé « La nouvelle diplomatie française au Moyen-Orient », à l’occasion duquel des personnalités de renom, académiciens, diplomates et des chercheurs spécialisés de la question apporteront leurs éclaircissements sur ce sujet. _____ « La France et la Palestine », par Bruno GUIGUE, Haut fonctionnaire d’Etat français, essayiste et politologue _____ « Quel avenir politique indépendante pour la France au Moyen-Orient ? », par Philippe de SAINT ROBERT, Politologue _____ « Les relation franco – saoudiennes du point de vue de la sécurité et de la défense », par François BELLIOT, écrivain et politologue _____ « La politique étrangère de la France au Moyen-Orient », par Gérard BAPT, Président du groupe d’amitié France-Syrie de l’Assemblée nationale _____ « Les...

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Hollande et Fabius : l’impasse – Par Philippe de Saint Robert

La Plume parcourt le Net
Le 1 septembre 20150
en Scylla Hollande-Fabius, ou le naufrage indigne et sans fin de la diplomatie et de la politique étrangère de la France...

Publié le : 26 août 2015 Source : afrique-asie.fr La crise que traverse la France conjugue déboires intérieurs et déboires extérieurs. Le gouvernement socialiste n’accepte pas de remettre en cause ses choix les plus contestables, à commencer par ses choix européens. C’est peu de dire que l’Union européenne non seulement ne profite pas à la France, mais lui nuit. La France y fait vainement appel à une solidarité qui n’est pas dans l’esprit de ses partenaires. On l’a constaté lors de son intervention en Afrique, dans l’affaire du Mali, où elle se battait seule pour l’Europe contre la barbarie. On le constate à présent dans la crise de l’agro-alimentaire où elle subit, dans l’indifférence générale, de la part de ses partenaires – l’Allemagne et l’Espagne – un véritable « dumping » social, consécutif à une dérèglementation générale inhérente au dogme néolibéral auquel se sont ralliés les dirigeants socialistes. De l’Atlantique à...

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Le bal des faux-culs – Par Philippe de Saint Robert

Europe
Le 9 août 20140
en Scylla Hollande-Fabius, ou le naufrage indigne et sans fin de la diplomatie et de la politique étrangère de la France...

Publié le : 09 août 2014 Source : espritcorsaire.com    La diplomatie française s’enfonce dans l’impasse où le précédent quinquennat l’a engagée. Il y eut l’affaire libyenne dont on a retrouvé, comme par hasard, certains protagonistes place de Maïdan. C’est peu de dire que nous avions plus que dépassé le mandat des Nations Unies, avec pour conséquence la déstabilisation de l’Afrique sub-saharienne et la rancune de Vladimir Poutine (qui ne parla cependant pas de nous « punir »). Dès le début des émeutes syriennes, nous nous sommes employés à jeter de l’huile sur le feu, rompant les relations diplomatiques avec Damas et alimentant la rébellion en armes et en « soutien psychologique ». L’une des traditions les mieux établies de notre diplomatie était pourtant que la France, à la différence des États-Unis, reconnaît des États et non des régimes. Ce faisant, Paris s’alignait sur le Département d’État américain. Il...

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Politique étrangère de la France: Le bal des faux-cul – par Philippe de Saint Robert

La Plume parcourt le Net
Le 7 avril 20140
Le binome catastrophique qui a succédé pour l'encore pire à l'orchstre atlantiste de Nicolas Sarkozy..

Publié le : 06 avril 2014 Source : french.irib.ir La diplomatie française s’enfonce dans l’impasse où le précédent quinquennat l’a engagée. Il y eut l’affaire libyenne dont on retrouve, comme par hasard, certains protagonistes place de Maïdan. C’est peu de dire que nous avions plus que dépassé le mandat des Nations Unies, avec pour conséquence la déstabilisation de l’Afrique sub-saharienne et la rancune de Vladimir Poutine. Dès le début des émeutes syriennes, nous nous sommes employés à jeter de l’huile sur le feu, rompant les relations diplomatiques avec Damas et alimentant la rébellion en armes et en « soutien psychologique ». L’une des traditions les mieux établies de notre diplomatie était pourtant que la France, à la différence des États-Unis, reconnaît des États et non des régimes. Ce faisant, Paris s’alignait sur le Département d’État américain. L’Union atlantique allait bientôt prendre le pas sur l’Union européenne. Il n’a pas fallu attendre...

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