Articles liés pour ‘ crise ukrainienne ’

Guy Mettan revient sur la russophobie occidentale, vieille de mille ans (11 août 2015)

Histoire
Le 16 août 20150
Guy Mettan revient sur la russophobie occidentale, vieille de mille ans (11 août 2015)

Guy Mettan est député, ancien président du Grand Conseil genevois, ancien rédacteur-en-chef de la Tribune de Genève et directeur du Club Suisse de la Presse. Il vient de publier un ouvrage d’historien intitulé : Russie-Occident, une guerre de mille ans. La russophobie de Charlemagne à la crise ukrainienne. Dans cet essai, Guy Mettan part du constat que le regard de l’Occident sur la Russie est déformé par la peur, l’ignorance et les préjugés. Pourquoi tant de haine envers un pays pourtant si proche par la géographie et la culture ?L’auteur va retracer la genèse religieuse, idéologique et géopolitique, de Charlemagne jusqu’aux rivalités pour le contrôle de l’Eurasie et de ses ressources, en passant par le faux testament de Pierre le Grand sous Louis XV où se construit le mythe de l’expansionnisme russe réutilisé plus tard par Napoléon Ier pour justifier sa campagne de Russie en 1812. Outre la France,...

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Russie-France : Sortir de l’hypocrisie, du double standard et des incohérences – Par Philippe Migault

La Plume parcourt le Net
Le 13 mai 20150
Hollande a enfermé la France dans une russophobie absurde et irrespectueuse de la parole de la France

Publié le : 12 mai 2015 Source : fr.sputniknews.com Le rythme haletant de l’actualité, peu propice à la réflexion, offre quelquefois l’occasion de saisir en quelques instants toute l’incohérence d’une politique bien plus sûrement qu’une longue analyse. Le Président de la République française, François Hollande, après une escale au Qatar, où il a signé un contrat portant sur la vente de 24 avions de combat Rafale, est reçu en Arabie Saoudite, invité de surcroît par le Conseil de Coopération du Golfe (CCG), « geste sans précédent pour un dirigeant occidental depuis la création de cette instance en 1981 » selon Le Figaro.Parallèlement un article du même quotidien assure que l’option de couler en haute mer les Bâtiments de Projection et de Commandement (BPC) destinés à la Russie aurait été envisagée comme porte de sortie par les autorités françaises, ne sachant que faire des navires, tous deux achevés et prêts...

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Comment déclencher une guerre et perdre un empire – Par Dmitry Orlov

La Plume parcourt le Net
Le 5 novembre 20140
La marionnette médiatique Obama semble aujourd'hui décidée, avec sa russophobie délirante, à plonger le monde dans le chaos et la guerre...

Publié le : 05 novembre 2014 Source : les-crises.fr Il y a un an et demi, j’ai écrit un essai sur la façon dont les USA ont choisi de voir la Russie, intitulé l’Image de l’ennemi. A l’époque, je vivais en Russie et, après avoir observé la rhétorique antirusse américaine et les réactions des Russes, j’ai fait des observations qui m’ont paru importantes à l’époque. Il s’avère que j’avais réussi à déceler une tendance importante, mais étant donné l’allure rapide des derniers développements, ces observations sont tristement dépassées, et par conséquent, en voici une mise à jour. A cette époque, les enjeux n’étaient pas encore très importants. On faisait beaucoup de bruit au sujet d’un type dénommé Magnitsky, un avocat d’affaires véreux qui s’était fait arrêter et qui mourut en détention provisoire. Il détenait des informations sur quelques escrocs occidentaux de plus grande envergure, qui, bien sûr, n’ont jamais...

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La question ukrainienne : une étape dans le processus de déconstruction du droit international – Par Robert Charvin

Europe
Le 21 mars 20140
Le coup d'état en Ukraine, piloté par les USA et l'UE, la réplique russe en Crimée... La fin d'un monde unipolaire né de l'effondrement de l'Union Soviétique

Publié le : 21 mars 2014 Source : comite-valmy.org Le droit international est le plus souvent passé sous silence, parce qu’il entrave une puissance politique ou privée. Lorsqu’il est invoqué, c’est parce qu’un État y trouve un intérêt. Les États-Unis, tout particulièrement, qui se refusent à la plupart des engagements multilatéraux, n’y font référence qu’à titre exceptionnel. C’est le cas à l’occasion de la crise ukrainienne, contrairement à la crise irakienne : les États-Unis s’étaient dispensés d’obtenir l’autorisation du Conseil de Sécurité pour recourir à la force armée, en violation d’une disposition majeure de la Charte des Nations Unies. Les États occidentaux, s’arrogeant la qualité de seuls représentants de la « communauté internationale », se sont fait aussi une spécialité d’interpréter avec mauvaise foi les résolutions du Conseil de Sécurité afin de légitimer leurs politiques d’ingérence : ce fut le cas pour la Libye, par exemple. La France et l’OTAN sur la base...

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