Politique France

Résultats des élections européennes : pas de démocratie…

29 mai 20145
Résultats des élections européennes : pas de démocratie… 4.99/5 83 votes

… pour les « amis » de la démocratie !

C’était plus que prévisible. C’était même en réalité, et depuis longtemps, écrit. Une fois la stupéfaction passée, la gigantesque baffe encaissée, le KO en partie au moins digéré, l’oligarchie qui nous dirige et nous commande bien plus qu’elle ne nous gouverne, celle qui squatte depuis plus de trente ans maintenant les allées du pouvoir et nous impose sa vision du monde et de la société tout comme elle cherche à nous imposer sa lecture biaisée de la démocratie, l’oligarchie a donc décidé de « réagir », et tout le monde est désormais sur le pont pour tenter de contrer la montée semble-t-il aujourd’hui irrépressible, bien que mille fois déjà dénoncée, de la « bête immonde ».

Bien-sûr, la « bête immonde » ! Et tant pis si sœur Anne ne voit pourtant (depuis trente ans et les premiers SOS sous le règne de Tonton Mitterrand) en réalité toujours rien venir : car malgré les cris d’orfraies lancés très régulièrement par nos vigilants depuis ces trois dernières décennies, toujours pas un seul petit bruit de bottes à se carrer dans les esgourdes, toujours pas le moindre petit pogrom ou la plus anecdotique petite ratonnade à se mettre sous la dent antifasciste… Le calme est presque plat (du moins dans le sens « de souche »-immigré, parce que dans l’autre…)… Et la peste brune est toujours aux abonnés absents. Mais qu’importe, pour nos résistants de carnaval, l’existence même du flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse ! La contre-offensive est donc – encore une fois – déclenchée, et on va – encore une fois – voir ce qu’on va voir !

Tout avait en fait et bien évidemment commencé dès dimanche soir, avec en avant-garde obligée (dans tous les sens du terme) du politiquement-correct, la réaction des télévisions et radios d’un système de plus en plus soviétique, de ces médias eurolâtres béats totalement convertis au mondialisme destructeur des peuples et des nations, qui nous assènent jour après jour, d’heure en heure, de minute en minute ce que nous devons penser et – surtout – ce que nous avons ou non le « droit » de voter.  Ces médias qui nous ordonnent bien plus qu’ils ne nous disent le « juste », le « vrai » et le « permis », avec leurs fausses expertises délivrées par de faux experts, leurs analyses biaisées, leur lecture souvent partielle et toujours partiale des évènements et, surtout, à grands coups d’éditos écrits, parlés ou filmés dégoulinants de « pujaderie », de « barbierité », de « duhamélisme », de « guettatologie », d’ « apathite » et autres  « cohenries » en tous genres, sans oublier bien entendu – et à tout saigneur toute horreur –de béhachélystérie suraigüe… Fausses expertises, fausses analyses puis si nécessaire admonestations et même condamnations reprises ensuite en boucle, copiées, singées jusqu’à la nausée par tout ce que notre presse compte de journalistes-carpettes étendus docilement (et bien plus encore servilement) aux pieds d’un système qui les gave de privilèges en tous genres (en ce moment, par exemple, les places VIP dans les tribunes de Roland-Garros).

Ah, oui, il fallait voir leur tête ce dimanche soir, à tous ces cuistres ! L’œil sombre, le visage défait, la voix tremblante… Un véritable festival de tronches d’enterrement. Qui, des journalistes fussent-ils du service public (et à ce titre supposés afficher une impartialité totale) ou des politiciens (de l’UMP, du PS, de l’UDI, d’EELV ou du Front De Gauche) était le plus atteint par les résultats du jour ? Qui de David Pujadas, de Ruth Elkrief, de Jean-Luc Mélenchon, ou de Ségolène Royal allait avoir cette nuit-là le plus de mal à trouver le sommeil ? Il était bien difficile de le savoir en vérité.

Le premier choc « journalistique » passé, vint ensuite et bien entendu le tour des politiques…

Le peuple vote mal ? Saleté de peuple !

Il fut en France un temps où, lors des soirées électorales et lorsque les résultats étaient portés à leur connaissance, les représentants des partis vaincus s’inclinaient humblement devant le vote de nos compatriotes, devant l’expression de la volonté d’un peuple forcément souverain. Savoir accepter le verdict des urnes est à priori bien le moins que l’on puisse exiger d’un candidat ou d’un responsable de parti qui se réclame de la démocratie, fut-elle représentative. Le fameux « gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » mis en avant par nos institutions, vous vous souvenez ? Mais je vous parle d’un temps que les moins de trente ans ne peuvent pas connaître… Car il y a bien longtemps que nos chères « élites » sont en réalité passées à tout autre chose. Et dans ce lent mais continu glissement, tout d’abord inquiétant, puis tristement évident et désormais totalement aveuglant de la démocratie à la française vers la ploutocratie à la bruxelloise, l’Europe, ou plutôt la construction de l’Union Européenne, aura joué le tout premier rôle.

On le savait de façon définitive depuis le fameux référendum de 2005 sur la Constitution Européenne. Ce projet mortifère pour la souveraineté populaire et l’indépendance de la France qui avait été pourtant voulu, porté, presque imposé par la quasi-totalité de ces « partis de gouvernement » (UM + PS + centre + verts) qui ne cessent de prétendre aujourd’hui encore défendre la démocratie. Un projet qui avait été rejeté à l’époque et on ne peut plus clairement par les Français, avec cinquante-cinq pour cent de NON, malgré une campagne de propagande médiatique digne des pires régimes totalitaires. Mais un projet qui  était pourtant presque aussitôt revenu par la fenêtre de la forfaiture « grâce » à Nicolas Sarkozy et son Traité de Lisbonne (mais aussi grâce au soutien, ne l’oublions pas, de tous les partis précités).

On savait donc que toutes les belles phrases mettant en avant la primauté absolue de la volonté populaire dans un régime qui se présente comme démocratique, fussent-elles gravées dans le marbre constitutionnel, avaient déjà été remplacées plus ou moins discrètement dans l’esprit des ploutocrates qui nous gouvernent par la maxime plus cynique mais surtout plus lucide de Jean-Louis Barrault, maxime souvent attribuée à Woody Allen, Frédéric Dard ou Coluche : « la dictature, c’est ferme ta gueule, la démocratie, c’est cause toujours ! »

Ce dimanche soir, nos politiciens du système ont franchi une nouvelle marche : après celui de l’ignorance, du mépris et de la trahison, voici venu le temps de la critique, de l’admonestation, de la condamnation, de l’insulte même envers le suffrage universel et l’expression de la volonté populaire, supposés pourtant régner en souverains absolus en démocratie.

C’est ainsi que l’on a par exemple, depuis dimanche soir, entendu ceci et cela (et parmi beaucoup d’autres déclarations toutes aussi sidérantes) dans la bouche de certains de nos principaux « représentants politiques »  :

Alain Juppé (UMP) : « Je ne me résigne pas à ce que mes enfants et petits-enfants grandissent dans une France barricadée dans ses frontières, rétrograde et apeurée ». Merci monsieur le maire de Bordeaux, au nom de tous les rétrogrades apeurés qui ont largement remporté cette élection ! Personnellement, je ne me résigne pas à ce qu’un ancien repris de justice, condamné en janvier 2004 à dix-huit mois de prison avec sursis et à dix ans d’inéligibilité dans l’affaire des emplois fictifs de la ville de Paris, peine fort heureusement pour lui ramenée en appel en décembre de la même année à « seulement » quatorze mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité, vienne encore oser donner des leçons de vertu et de démocratie au Peuple français.

Barbara Pompili (EELV) : « J’ai honte de l’image que la France donne ». C’est étrange mais pour ma part, c’est bien de Barbara Pompili que j’ai honte, en cela que, députée, elle est censée défendre et représenter la France, et non ainsi la dénigrer.

Ségolène Royal (PS et gouvernement) : « c’est un choc à l’échelle du monde ». Sacrée Ségolène, toujours au top ! Prête à oser toutes les « bravitudes »… Un choc à l’échelle du petit monde de l’UMPS, je ne dis pas, et même certainement, mais pour le reste… Vous croyez que cela les a traumatisés, au Venezuela, en Chine, en Inde, en Australie ? Je pouffe !

Pierre Moscovici (PS) : « Il faut réconcilier les Français avec la France ». C’est-à-dire avec le PS et Bruxelles, CQFD.

Emanuelle Cosse (EELV) : « le rêve européen est menacé ». Le sien en tout cas, et tant pis s’il est aussi et par la même occasion notre pire cauchemar !

Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) : « c’est une information suffocante ». « Tout le vieux continent est en train de rouler à un abîme [sic] et à une crise de civilisation majeure ». Le même ajoutera d’ailleurs plus tard, et les larmes aux yeux (Mélenchon, Lavrilleux… ça pleurniche beaucoup dans la classe politique et devant les caméras, en ce moment !) : « Allez les travailleurs, ressaisissez-vous ! ». C’est-à-dire, au cas où ces crétins ne l’auraient pas encore compris : « votez plutôt pour moi ! ».

Stéphane Le Foll (PS et gouvernement) : « c’est un signal pour les républicains ». Comprenez par là que ce vote FN-RBM, qu’il soit ou non le vôtre, ne l’est pas lui, républicain !

François Bayrou (UDI-Modem) : ce vote est révélateur de la  « décomposition de la vie politique française » Là encore, bonjour au passage à tous ces « décomposés » qui ont si mal voté !

On avait aussi ce soir-là très vite enchainé avec Manuel Valls qui, dans une vidéo crépusculaire préenregistrée, grandiloquente et assez pathétique, où le petit caudillo catalan, mâchoire comme toujours serrée, et yeux plus que jamais exorbités, semblant tout droit sorti d’un vieux film de Fantomas pour effrayer le téléspectateur, tançait lui aussi sévèrement ces méchants électeurs qui avaient si mal voté :

« Le moment que nous vivons est un moment grave, très grave, pour la France et pour l’Europe ». Très grave pour lui, son gouvernement, son Président et son parti, on veut bien le croire. Pour l’Union Européenne version Bruxelles, peut-être… Mais pour la France et l’Europe ?

Le cuistre avait dès le lendemain rajouté, questionné sur la Bérézina subie par son parti et sur la légitimité désormais totalement nulle de son gouvernement : « Nous n’allons pas ajouter à la crise d’identité, à la crise morale que la France traverse, nous n’allons pas rajouter le désordre par des élections, un pays qui serait ingouvernable ». « Crise morale », le vote pas politiquement-correct des Français ? A quand l’explication par la  folie, et donc (ne nous arrêtons pas en si bon chemin) l’usage de la camisole ?

Etait ensuite venu le « discours » totalement hors sol, encore plus incroyablement irrespectueux du suffrage universel et de ces électeurs qui pensent décidément bien mal (discours pour le coup, lui, profondément antirépublicain), de ce qui n’est plus désormais qu’une pathétique baudruche élyséenne, j’ai nommé François Hollande. Mais je n’en dirai guère plus, car il est fort peu glorieux de tirer sur un corbillard. Que les masochistes ou ceux qui veulent en savoir plus parce qu’ils y avaient jusque là échappé regardent seulement la vidéo qui suit…

 

Image de prévisualisation YouTube

 

Les associations et les syndicats entrent dans la danse…

Et puis, par un prompt renfort en arrivant au « porc » (l’électeur FN, CQFD) les kapos associatifs entrèrent à leur tour dans la danse… ces SOS Racisme, CRIF, UEJF et autre LICRA, supplétifs on ne peut plus zélés du nouvel ordre moral, qui jouent avec gourmandise et de plus en plus souvent dans l’espace public (et même à présent dans l’espace privé et sur les réseaux sociaux) leur rôle de petits flics de la pensée non-conforme, rôle que leur ont permis d’habiter les funestes lois liberticides (Pleven, Gayssot, Taubira, …) votées par la droite comme par la gauche ces dernières années. Flics tout autant que juges, toujours prêts à excommunier ou à traîner récalcitrants et opposants devant les tribunaux de la République pendant que voyous, « sans-papiers », et autres dealers s’ébattent eux en toute liberté sur le territoire national…

Enfin aujourd’hui, c’était donc au tour des kapos syndicaux, de plus en plus ouvertement politisés, de se lancer dans la chasse au fasciste, dans la dénonciation virulente de la démocratie décidemment d’un seul coup trop malpensante : CGT, CFDT, Sud, UNEF-ID, UNL … toutes organisations qui avaient ces jours derniers lancé un mot d’ordre pour des grandes manifestations et autres « marches noires » pour « sauver la démocratie » et pour en réalité protester contre… le résultat d’un scrutin démocratique ! L’UNEF (étudiants) et l’UNL (Union Nationale Lycéenne) coorganisateurs de la manifestation parisienne, déclarant notamment pour justifier leur colère que « le vote de dimanche dernier n’est pas à l’image de la jeunesse ». Et tant pis si justement, le Front National est aujourd’hui, et plus encore que pour d’autres tranches d’âge de la population, le parti qui recueille de loin le plus de votes dans la jeunesse de France (36 %) ! Cachez ce scrutin que je ne saurais voir ! Et charge à vous (au passage) de comprendre comment des lycéens, mineurs, donc pas concernés et n’ayant de ce fait aucun droit de regard sur le processus électoral et sur les résultats des élections, peuvent avoir le culot de défiler dans les rues pour condamner l’expression libre du peuple français dans un scrutin au suffrage universel !

Mais malgré les trompettes médiatiques, malgré les appareils syndicaux rameutant dare-dare ce qui leur reste encore d’encartés, malgré les bataillons obligés et désormais presque orphelins de jeunes crétins décérébrés manipulés par les syndicats socialistes étudiants ou plus encore désormais lycéens (plus c’est jeune, plus c’est manipulable, comme le sait si bien et depuis si longtemps ce cher Julien Dray), ces manifs ont semble-t-il donc et une nouvelle fois fait… un gigantesque bide. Quelques misérables centaines de gugusses, se prenant pour Jean Moulin faisant face à l’hydre nazie, ont battu le pavé parisien, lyonnais ou marseillais. Ce qui n’empêchera pas les journaux télévisés de ce soir, d’en rendre sans doute bien plus abondamment compte que des gigantesques défilés de la Manif pour Tous. Non, décidément, les vieilles recettes ne marchent définitivement plus, l’antiracisme de façade et l’antifascisme de Prisunic font désormais presque systématiquement pschitt et seules quelques dizaines, au mieux quelques centaines de « défenseurs de la démocratie » (contre la démocratie) continuent comme des automates à battre le pavé contre les succès de plus en plus nombreux et spectaculaires d’un parti prétendument issu des « heures les plus sombres de notre histoire ».

Décidément, le temps se gâte salement pour les bienpensants, et l’antifascisme n’est plus ce qu’il était, ma pauv’dame ! Mais qu’importe : médias, politiciens, élus, associations, syndicats… toutes ces belles âmes de la démocratie bien comprise, tous ces arbitres autoproclamés des élégances républicaines, tous ces petits censeurs frustrés de ne pouvoir – encore ? – influer radicalement sur le suffrage universel, semblent une fois de plus vouloir faire fi de la volonté de plus en plus exprimée, de plus en plus ouvertement maintenant affirmée de leurs concitoyens. Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Au respect du verdict des urnes, ceux-là préfèreront donc toujours mettre en exergue ou décliner la maxime « oxymorique » et quasi délirante – et pour le coup, réellement fascisante – de Saint-Just, lancée en 1793, pour justifier la dictature du Comité de Salut Public : « pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! ».

Pas de démocratie pour ces « amis » de la démocratie donc… Mais que ces faux démocrates prennent aujourd’hui garde, car Saint-Just avait aussi déclaré ceci : « Un peuple n’a qu’un ennemi dangereux, c’est son gouvernement ». Le peuple de France semble à présent s’en rendre de plus en plus compte. Et quelques mois à peine après sa saillie liberticide… Saint-Just avait lui aussi rendez-vous avec cette guillotine qu’il avait tant aimé voir couper la tête des récalcitrants. Je ne serai pas étonné que, d’une façon ou d’une autre, au propre ou au figuré, l’histoire nous repasse très prochainement les plats !

Marc LEROY – La Plume à Gratter

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5 Responses to Résultats des élections européennes : pas de démocratie…

  1. Carine005 le 13 juin 2014 à 11 h 02 min

    Si vous avez un moment (plus de 2 heures quand même^^), et si ça n’est déjà fait, vous pouvez écouter cette émission de Méridien Zéro:

    http://www.meridien-zero.com/archive/2014/06/06/emission-n-192-panorama-actu-par-un-beau-dimanche-soir-5385692.html

    Les intervenants traitent de tous ces sujets, liés aux Européennes.

    Marc, j’ai déjà fait cet avis, mais il est passé à la trappe. A cause du lien ?

  2. campagnard56 le 1 juin 2014 à 15 h 05 min

    Bonjour à tous,

    Un article de combat qui vous caractérise et met à nouveau en exergue l’influence hégémonique du pouvoir en place sur les rouages de la société.
    Cependant, l’Histoire se rappelle à nous et ce coup de semonce anti parlementaire ne constitue que le début de la lente résurrection du Peuple français mithridatisé.

  3. Carine005 le 30 mai 2014 à 22 h 16 min

    « Je ne me résigne pas à ce que mes enfants et petits-enfants grandissent dans une France barricadée dans ses frontières, rétrograde et apeurée »

    Tu parles !
    Ils ont déjà sûrement leur villa à Marrackech, leur appart à Miami et leur hacienda en Patagonie.

  4. NOURATIN le 30 mai 2014 à 17 h 59 min

    Que voilà un magnifique article et qui fait plaisir à lire, cher compagnon!
    On ne saurait mieux dire l’imbécillité crasse de tous ces bien-pensants qui ne
    se rendent même pas compte à quel point il crachent sur leur sacro-sainte démocratie,
    dès lors qu’elle produit des résultats non-conformes à leurs voeux.
    Amitiés.

  5. Djefbernier le 30 mai 2014 à 4 h 52 min

    Je me sens parfois idiot de n’avoir pas la télé aussi ai-je été assisté à cette soirée élections. J’en apprends de belles en lisant ces lignes.Switchie en a fait un beau scénario pour la fin de l’année. Moi qui suis enfant de la télé sans imagination donc j’espère une bonne guerre de manifs pour avoir la dèm de ces clowns et un choc, un exemple, vraiment mondial, en plein dans la coupe du monde de foot tiens, ce serait bien… Par contre si ça arrivait chère Plume, pour ma part j’en serais étonné, doit y avoir quelque chose de plus que le chlore dans l’eau du robinet !

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