Articles liés pour ‘ traditions ’

Si François Baroin devait participer à une crèche vivante, il serait l’âne – Par Christian Vanneste

La Plume parcourt le Net
Le 26 novembre 20150
Baroin, l'âne de la crèche

Publié le : 26 novembre 2015 Source : bvoltaire.fr Aucun doute ! Si François Baroin devait participer à une crèche vivante, son rôle serait celui de l’âne. La seule réserve viendrait du respect que l’on doit avoir pour l’âne de la crèche, symbole de l’humilité et du courage, vieux compagnon de l’homme au travail, comme le bœuf. Baroin, ce serait plutôt l’âne de la vieille école laïque, celui à qui on met un bonnet parce qu’il est vraiment trop bête et paresseux. Car là, il a fait fort ! Après une longue réflexion, l’Association des maires de France, qu’il préside, vient de pondre sa riposte aux attentats de janvier. Si notre « vivre ensemble » est menacé, c’est parce que la laïcité n’est pas assez intransigeante. En somme, on ne doit pas accepter les crèches dans les mairies si on veut éviter qu’on tire sur les clients des magasins « cacher » ou qu’on prépare...

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Le pays des Samourais – Documentaire sur l’histoire, les traditions et les codes des légendaires guerriers du Japon

Documentaires
Le 20 avril 20140
Le pays des Samourais – Documentaire sur l’histoire, les traditions et les codes des légendaires guerriers du Japon

Samouraï (侍, Samurai, ou Bushi (武士)) est un mot japonais désignant un membre de la classe guerrière qui a dirigé le Japon féodal durant près de 700 ans. La classe de guerriers professionnels du Japon, constituée d’archers montés sur des étalons, trouve son origine dans la volonté impériale de conquérir des terres des Aïnous à la fin de la période Nara. Jusque-là, le Japon disposait d’une armée fondée sur la conscription, inspirée du modèle chinois. Les hommes âgés de vingt à trente ans étaient conscrits, répartis en autant de gunki (corps de mille soldats et officiers) qu’il y avait de provinces et attachés au service du kokushi (gouverneur de la province). Ce système se révéla totalement inefficace pour lutter contre les « barbares » Aïnous, redoutables cavaliers. L’empereur décida en 792 de le dissoudre pour mettre en place un nouveau système appelé kondeisei. Le Kondesei avait l’avantage de réduire le poids...

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La Toussaint, une fête à supprimer ? Par Gabrielle Cluzel

La Plume parcourt le Net
Le 3 novembre 20130
Gabrielle Cluzel

Publié le : 03 novembre 2013 Source : bvoltaire.fr Une enquête des Pompes funèbres générales vient de le révéler à l’occasion de la fête de la Toussaint : 70 % des obsèques en France sont religieuses. Sans doute ce chiffre est-il en baisse, comparé à celui de 2008, mais dans un pays réputé parfaitement déchristianisé, il reste singulièrement élevé. S’il est un ultime endroit où la religion, persona non grata en Occident, trouve l’asile politique, c’est la mort. La mort d’un proche qui vous force, au moins jusqu’au jour de l’enterrement, à poser votre carte bleue, votre téléphone, vos projets de rencontre et de voyage, votre vie en mode « cent mille volts », et à répondre à la question eschatologique de ce fils, neveu ou jeune cousin qui vous tire résolument la manche de votre manteau : « Il est où, maintenant, grand-père ? » C’est pour cela que si l’on doit, comme l’ont suggéré...

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