Articles liés pour ‘ bourses d’études ’

Suppression des bourses au mérite : le raisonnement de Gribouille – Par Jean-Paul Brighelli

La Plume parcourt le Net
Le 26 juillet 20140
Jean-Paul-Brighelli

Publié le : 25 juillet 2014 Source : lepoint.fr C’en est fini de cette bourse qui donnait un coup de pouce aux meilleurs bacheliers. Terrible signal envoyé aux futurs étudiants, gronde Brighelli. _____ Les mauvais coups se portent pendant l’été, c’est bien connu. Cette fois, Geneviève Fioraso, qui a besoin d’argent pour des missions nobles, n’en doutons pas, a décidé de mettre les étudiants méritants au régime sec, en supprimant d’un trait de plume plume les « bourses au mérite » qui leur permettaient d’entrer avec un peu plus de confiance dans le supérieur. J’avais déjà évoqué ici les aberrations du système des bourses, qui laisse à l’écart les enfants des classes moyennes. « Multiplions les bourses au mérite ! » écrivais-je… Le gouvernement m’a entendu : il les supprime. L’idée tripotait le ministère depuis longtemps. L’année dernière déjà, une première tentative de suppression des bourses avait été reportée (courageusement) d’un an....

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Étudiants : ils ne fichent rien, mais touchent une bourse ! Par François Jourdier

La Plume parcourt le Net
Le 3 juin 20130
Le scandale des faux boursiers -mais vrais rentiers- aux frais des contribuables...

Publié le : 03 juin 2013 Source : bvoltaire.fr Au moment où le gouvernement constate le caractère élitiste des « prépas » — où se bousculent surtout les jeunes décidés à consacrer deux années de leur vie à la préparation d’un concours difficile — et veut les ouvrir à une plus grande diversité, voire faire payer des droits d’inscription, Le Monde soulève le problème des faux étudiants uniquement intéressés par la perception d’une bourse et ne fournissant aucun travail. Copie blanche rendue. Ils ne sont venus que pour signer la feuille de présence et continuer à bénéficier de leur bourse. « Nous, direct, on signe, on s’en va. Ici, on est payés à rien foutre. » Ilyes, Ryan, Dylan, trois compères à la démarche chaloupée, assument, débonnaires, leur stratégie de survie par temps de crise. « On a la bourse, on travaille de partout au noir, on s’en tire avec 1.500 euros facile. » Une...

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